Anniversaire ? Vous avez dit anniversaire ???
Re: Anniversaire ? Vous avez dit anniversaire ???
Joyeux anniversaire, Dek !
Et merci
Et merci
— Regarde toi : la finesse d'une enclume et la loyauté d'un bigorneau !
— Et toi, capitaine Mendoza, tu fais quoi d'honorable à part chasser les mouches avec ta cape ?!
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- Chaltimbanque
- Maître Shaolin
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Re: Anniversaire ? Vous avez dit anniversaire ???
Alors, alors, alors !!
Petit poisson, tu sais à quel point j'aime les jeux...
Donc, ce midi, il m'est venu l'idée d'en concocter un rien que pour toi en ce jour si spécial ! ^^
(Mais les autres peuvent y jouer aussi, bien entendu !)
La règle est toute simple: il suffit de suivre les indications pour trouver ton cadeau.
Joyeux anniversaire et amuse-toi bien !
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Petit poisson, tu sais à quel point j'aime les jeux...
Donc, ce midi, il m'est venu l'idée d'en concocter un rien que pour toi en ce jour si spécial ! ^^
(Mais les autres peuvent y jouer aussi, bien entendu !)
La règle est toute simple: il suffit de suivre les indications pour trouver ton cadeau.
Joyeux anniversaire et amuse-toi bien !
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I shall be telling this with a sigh
Somewhere ages and ages hence:
Two roads diverged in a wood, and I—
I took the one less traveled by,
And that has made all the difference.
"The Road Not Taken" by Robert Frost
Somewhere ages and ages hence:
Two roads diverged in a wood, and I—
I took the one less traveled by,
And that has made all the difference.
"The Road Not Taken" by Robert Frost
Re: Anniversaire ? Vous avez dit anniversaire ???
Merci kally !
Petite renarde, tu sais que notre intérêt pour les jeux est commun, ainsi je te remercie chaleureusement pour cet étonnant jeu de piste à travers un pays qui me passionne. Petit jeu qui, pour ma part, s'est terminé sans dégâts notoires (promis juré, je n'ai pas triché), et pourtant j'étais partie pour battre le serpent à mains nues, ouf ! Merci également pour le Mendoza biker qui est réellement bien sapé. Ne t'en fais pas pour la moto de savoir que c'est une Honda est suffisant. Je n'ai plus qu'à m'imaginer passagère de son bolide, roulant à fond sur les routes de la côte est australienne, admirant le paysage avec un air de Xavier Rudd en tête. Double merci talentueuse renarde !
Petite renarde, tu sais que notre intérêt pour les jeux est commun, ainsi je te remercie chaleureusement pour cet étonnant jeu de piste à travers un pays qui me passionne. Petit jeu qui, pour ma part, s'est terminé sans dégâts notoires (promis juré, je n'ai pas triché), et pourtant j'étais partie pour battre le serpent à mains nues, ouf ! Merci également pour le Mendoza biker qui est réellement bien sapé. Ne t'en fais pas pour la moto de savoir que c'est une Honda est suffisant. Je n'ai plus qu'à m'imaginer passagère de son bolide, roulant à fond sur les routes de la côte est australienne, admirant le paysage avec un air de Xavier Rudd en tête. Double merci talentueuse renarde !
« Tout vient à point à qui sait attendre... ou plutôt, tout vient à point à qui sait m'attendre ! »
Re: Anniversaire ? Vous avez dit anniversaire ???
L'air était étouffant, elle étouffait, elle avait besoin d'eau, de beaucoup d'eau, elle n'aspirait qu'à rejoindre son élément à présent qu'elle avait révélé sa vraie nature et avait perdu toute chance de lui plaire. Elle se tordait sur le plancher, dans un effort désespéré pour gagner la porte, puis le pont, elle y arriverait, elle s'enfoncerait dans les profondeurs pour y disparaître à jamais et y cacher sa honte. Il croyait peut-être que ce rouge vermillon était sa couleur naturelle, mais il ignorait à quel point le feu de la honte avait rougi ses écailles. Elle brûlait. Sans eau, elle ne parvenait même pas à glisser sur le bois verni, elle tentait de sauter, croyait avancer par petits bonds misérables, mais elle sentait confusément que ses forces l'abandonnaient et que la fin était proche. C'était sans doute mieux ainsi...elle cessa de lutter...la brume envahissait son petit cerveau, l'éclat de ses yeux pétillants ne tarderait pas à se ternir. Elle ne le verrait plus...elle se concentrait maintenant sur son image, il fallait qu'il l'accompagne dans son dernier voyage, comme elle l'avait accompagné toutes ces années...
Elle aurait tant voulu lui dire....quand elle l'avait vu plonger dans la mer déchaînée, la première fois, elle n'en avait pas cru ses yeux de jeune poisson à peine sorti de l'oeuf; elle avait été éblouie; une peau tendue, ruisselante, battue par les vagues, une peau ferme, contre laquelle elle avait aussitôt rêvé de frotter ses écailles visqueuses; comme aimantée, elle avait nagé vers lui, puis il avait disparu, il avait grimpé sur cette épave, la séparation déjà semblait inévitable. Mais il avait replongé, avec la chose hurlante et gesticulante, qui entravait ses mouvements, jamais il ne réussirait à surnager, il allait couler! Il devait tenir la chose à deux mains! Elle se précipita, et de toutes ses forces le soutint, exerçant de sa petite tête une pression herculéenne sur cette partie charnue qu'elle avait à peine entrevue, mais dont le contact lui procura un frisson délicieux. Comme poussé par les vagues, il parvint à rejoindre son navire, l'enfant dans les bras. Il était sauvé. Mais elle le perdait.
Elle avait résolu alors de le suivre jusqu'au bout du monde, mais ses petites nageoires étaient bien dérisoires. Pourtant, elle l'avait toujours retrouvé, comme par miracle. Il ne le savait pas, mais elle avait toujours veillé sur lui, quand il était dans son élément. Et elle l'avait sauvé encore, quand il avait coulé à pic de façon inattendue. De ses petites dents pointues, elle avait happé le morceau de tissu qui lui donnait un allure folle et faisait tourner la tête au petit poisson qui aurait voulu se perdre dans les tourbillons bleus et vermeil, être caressé par les ondulations de l'étoffe qu'elle imaginait aussi douce qu'une algue ondoyant au gré des courants marins. Elle avait tiré, tiré, pour l'empêcher de disparaître dans les abysses, jusqu'à ce qu'un autre bipède vienne à la rescousse. Elle avait prié Poséidon qu'il ne soit pas trop tard. Elle avait été exaucée.
Elle avait continué à le suivre, plus mordue que jamais, noyant son désespoir dans l'eau salée; elle avait vu le ventre de l'Autre s'arrondir. Jamais il ne la quitterait, elle le savait. Il ne lui restait que la consolation d'être son poisson pilote, son bon génie des mers. Et puis, un jour, elle crut halluciner. L'Autre restait à terre. Elle partait sans se retourner, et il ne la retenait pas. Se pouvait-il que....un fol espoir la traversa. Elle plongea vers l'antre de Poulpoula. La sorcière à face de poulpe l'attendait, un verre de brandy au bout d'un tentacule, une flasque de whisky au bout d'une autre, une bouteille de gin au bout d'une troisième, assise sur un baril de rhum, un cigare au bec.
P: Pas la peine de me faire un dessin, j'ai ce qu'il te faut, petit poisson. Tiens, avale moi ça!
Et elle lui fourra le contenu d'une fiole dans l'ouïe gauche. La douleur fut fulgurante. Elle se sentit aspirée et crut que ses entrailles avaient été arrachées par un poissonnier sadique. Le rire gras de Poulpoula fut la dernière chose qui surnagea à sa conscience. Quand elle se réveilla, elle crut qu'elle pendait au bout d'un hameçon tant la douleur était atroce. Peu à peu pourtant la douleur se calma,et elle se calma tout à fait quand elle réalisa qu'il était devant elle. Elle n'en crut pas ses ouïes tout d'abord, mais un frétillement de tout son être lui confirma qu'elle ne rêvait pas. Elle était bien vivante. Elle vit approcher le tissu merveilleux, et se laissa faire, tétanisée. Il s'était penché sur elle, il l'avait couverte de sa cape, et ...et....et il la souleva dans ses bras! Bon sang! Quel génie cette Poulpoula!
C'est après que les choses se gâtèrent. Elle avait bien des jambes, des bras, pas de problème. Et tout le reste aussi, mais elle avait dû se rendre à l'évidence, elle ne faisait que des bulles quand elle ouvrait la bouche. Et elle avait trouvé au bout de son bras droit un drôle de truc. Il avait dit que c'était un pinceau, et lui avait demandé si elle était peintre, mais elle comme elle ne pouvait pas répondre, elle s'était contentée de le regarder avec des yeux de merlan frit. Elle avait détesté ce moment et aurait voulu disparaître dans l'estomac d'une baleine, même si elle savait que c'était impossible. Il avait haussé les épaules, et lui avait demandé de faire son portrait. Il avait farfouillé dans ses tiroirs et en avait sorti des pâtes colorées qu'elle avait d'abord pris pour de la pâte à hameçon. Elle avait eu un mouvement de recul, puis avait réfléchi: peut-être lui proposait-il à manger? Mais quand elle avait surpris son regard au moment où elle portait une boule de pâte à sa bouche, elle avait compris qu'elle faisait erreur. Il était sorti en haussant à nouveau les épaules, et elle se serait ouvert le ventre elle-même avec un couteau à huître s'il y en avait eu un dans le tiroir. Mais il n'y en avait pas. C'est alors qu'elle comprit: ses doigts avaient changé de couleur. C'était visqueux. Elle s'essuya machinalement sur une carte posée sur la table. Elle eut une révélation.
Quand Mendoza revint dans sa cabine, il ne trouva pas l'étrange créature qu'il y avait laissée. La première chose qu'il vit, ce fut son portrait, magnifiquement exécuté sur la carte marine qu'il avait laissé sur la table. Il fut estomaqué de se voir si magistralement représenté. L'artiste qui avait peint ce portrait semblait avoir pénétré son âme, comme s'il l'avait côtoyé pendant de nombreuses années. Le marin frissonna. Comment était-ce possible? Et où était passée cette créature à la chevelure rousse et à la dentition irrégulière, qui conférait pourtant à son visage un charme indéniable? Quant à ses courbes...Non, il ne devait pas penser à ses courbes. Il posa le portrait, se frotta les yeux, baissa la tête. Depuis quatre nuits qu'il n'avait pas fermé l'oeil, il commençait à fatiguer. Il dormait peut-être même déjà, il avait dû rêver tout ça. Il ferma les yeux, les rouvrit. Il la vit. Elle s'agitait faiblement sur le plancher, les yeux clos, la bouche ouverte. A côté d'elle, un pinceau barbouillé. Il fallut à Mendoza un certain temps de réaction avant de penser à prendre un bocal sur l'étagère et à courir le remplir d'eau de mer. Elle était sauvée. Elle allait pouvoir couler le reste de ses jours auprès de son bien-aimé, séparée seulement de lui par une mince paroi de verre. Comment aurait-il pu rejeter à la mer une créature si extraordinaire? Il était tombé sous le charme de ses nageoires talentueuses, et lui demanda de faire le portrait de tout son équipage.
Petit conte improvisé lors d'une réunion tout à l'heure, il fallait bien que je trouve un petit cadeau pour mon petit poisson rouge préféré!
O tanjoobi omedetoo Dek!
Elle aurait tant voulu lui dire....quand elle l'avait vu plonger dans la mer déchaînée, la première fois, elle n'en avait pas cru ses yeux de jeune poisson à peine sorti de l'oeuf; elle avait été éblouie; une peau tendue, ruisselante, battue par les vagues, une peau ferme, contre laquelle elle avait aussitôt rêvé de frotter ses écailles visqueuses; comme aimantée, elle avait nagé vers lui, puis il avait disparu, il avait grimpé sur cette épave, la séparation déjà semblait inévitable. Mais il avait replongé, avec la chose hurlante et gesticulante, qui entravait ses mouvements, jamais il ne réussirait à surnager, il allait couler! Il devait tenir la chose à deux mains! Elle se précipita, et de toutes ses forces le soutint, exerçant de sa petite tête une pression herculéenne sur cette partie charnue qu'elle avait à peine entrevue, mais dont le contact lui procura un frisson délicieux. Comme poussé par les vagues, il parvint à rejoindre son navire, l'enfant dans les bras. Il était sauvé. Mais elle le perdait.
Elle avait résolu alors de le suivre jusqu'au bout du monde, mais ses petites nageoires étaient bien dérisoires. Pourtant, elle l'avait toujours retrouvé, comme par miracle. Il ne le savait pas, mais elle avait toujours veillé sur lui, quand il était dans son élément. Et elle l'avait sauvé encore, quand il avait coulé à pic de façon inattendue. De ses petites dents pointues, elle avait happé le morceau de tissu qui lui donnait un allure folle et faisait tourner la tête au petit poisson qui aurait voulu se perdre dans les tourbillons bleus et vermeil, être caressé par les ondulations de l'étoffe qu'elle imaginait aussi douce qu'une algue ondoyant au gré des courants marins. Elle avait tiré, tiré, pour l'empêcher de disparaître dans les abysses, jusqu'à ce qu'un autre bipède vienne à la rescousse. Elle avait prié Poséidon qu'il ne soit pas trop tard. Elle avait été exaucée.
Elle avait continué à le suivre, plus mordue que jamais, noyant son désespoir dans l'eau salée; elle avait vu le ventre de l'Autre s'arrondir. Jamais il ne la quitterait, elle le savait. Il ne lui restait que la consolation d'être son poisson pilote, son bon génie des mers. Et puis, un jour, elle crut halluciner. L'Autre restait à terre. Elle partait sans se retourner, et il ne la retenait pas. Se pouvait-il que....un fol espoir la traversa. Elle plongea vers l'antre de Poulpoula. La sorcière à face de poulpe l'attendait, un verre de brandy au bout d'un tentacule, une flasque de whisky au bout d'une autre, une bouteille de gin au bout d'une troisième, assise sur un baril de rhum, un cigare au bec.
P: Pas la peine de me faire un dessin, j'ai ce qu'il te faut, petit poisson. Tiens, avale moi ça!
Et elle lui fourra le contenu d'une fiole dans l'ouïe gauche. La douleur fut fulgurante. Elle se sentit aspirée et crut que ses entrailles avaient été arrachées par un poissonnier sadique. Le rire gras de Poulpoula fut la dernière chose qui surnagea à sa conscience. Quand elle se réveilla, elle crut qu'elle pendait au bout d'un hameçon tant la douleur était atroce. Peu à peu pourtant la douleur se calma,et elle se calma tout à fait quand elle réalisa qu'il était devant elle. Elle n'en crut pas ses ouïes tout d'abord, mais un frétillement de tout son être lui confirma qu'elle ne rêvait pas. Elle était bien vivante. Elle vit approcher le tissu merveilleux, et se laissa faire, tétanisée. Il s'était penché sur elle, il l'avait couverte de sa cape, et ...et....et il la souleva dans ses bras! Bon sang! Quel génie cette Poulpoula!
C'est après que les choses se gâtèrent. Elle avait bien des jambes, des bras, pas de problème. Et tout le reste aussi, mais elle avait dû se rendre à l'évidence, elle ne faisait que des bulles quand elle ouvrait la bouche. Et elle avait trouvé au bout de son bras droit un drôle de truc. Il avait dit que c'était un pinceau, et lui avait demandé si elle était peintre, mais elle comme elle ne pouvait pas répondre, elle s'était contentée de le regarder avec des yeux de merlan frit. Elle avait détesté ce moment et aurait voulu disparaître dans l'estomac d'une baleine, même si elle savait que c'était impossible. Il avait haussé les épaules, et lui avait demandé de faire son portrait. Il avait farfouillé dans ses tiroirs et en avait sorti des pâtes colorées qu'elle avait d'abord pris pour de la pâte à hameçon. Elle avait eu un mouvement de recul, puis avait réfléchi: peut-être lui proposait-il à manger? Mais quand elle avait surpris son regard au moment où elle portait une boule de pâte à sa bouche, elle avait compris qu'elle faisait erreur. Il était sorti en haussant à nouveau les épaules, et elle se serait ouvert le ventre elle-même avec un couteau à huître s'il y en avait eu un dans le tiroir. Mais il n'y en avait pas. C'est alors qu'elle comprit: ses doigts avaient changé de couleur. C'était visqueux. Elle s'essuya machinalement sur une carte posée sur la table. Elle eut une révélation.
Quand Mendoza revint dans sa cabine, il ne trouva pas l'étrange créature qu'il y avait laissée. La première chose qu'il vit, ce fut son portrait, magnifiquement exécuté sur la carte marine qu'il avait laissé sur la table. Il fut estomaqué de se voir si magistralement représenté. L'artiste qui avait peint ce portrait semblait avoir pénétré son âme, comme s'il l'avait côtoyé pendant de nombreuses années. Le marin frissonna. Comment était-ce possible? Et où était passée cette créature à la chevelure rousse et à la dentition irrégulière, qui conférait pourtant à son visage un charme indéniable? Quant à ses courbes...Non, il ne devait pas penser à ses courbes. Il posa le portrait, se frotta les yeux, baissa la tête. Depuis quatre nuits qu'il n'avait pas fermé l'oeil, il commençait à fatiguer. Il dormait peut-être même déjà, il avait dû rêver tout ça. Il ferma les yeux, les rouvrit. Il la vit. Elle s'agitait faiblement sur le plancher, les yeux clos, la bouche ouverte. A côté d'elle, un pinceau barbouillé. Il fallut à Mendoza un certain temps de réaction avant de penser à prendre un bocal sur l'étagère et à courir le remplir d'eau de mer. Elle était sauvée. Elle allait pouvoir couler le reste de ses jours auprès de son bien-aimé, séparée seulement de lui par une mince paroi de verre. Comment aurait-il pu rejeter à la mer une créature si extraordinaire? Il était tombé sous le charme de ses nageoires talentueuses, et lui demanda de faire le portrait de tout son équipage.
Petit conte improvisé lors d'une réunion tout à l'heure, il fallait bien que je trouve un petit cadeau pour mon petit poisson rouge préféré!
O tanjoobi omedetoo Dek!
"On savoure mieux ce qu'on a désiré plus longtemps, n'est-ce pas Mendoza?"
Unagikami mon amour
"It was a skyfall, and a rebirth, a bloody honeymoon, for both of us"
Yokai Circus
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Re: Anniversaire ? Vous avez dit anniversaire ???
Joyeux anniversaire Dek
- Attention on est presque en bas !
- Et comment on va s'arrêter ?
- C'est l'problème ! J'ai pas vraiment pris l'temps d'y penser !
Note MCO : 17/20
Note MCO2 : 5/20
Note MCO3 : ragequit/20
Note MCO4 : boycott/20
- Et comment on va s'arrêter ?
- C'est l'problème ! J'ai pas vraiment pris l'temps d'y penser !
Note MCO : 17/20
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Note MCO4 : boycott/20
Re: Anniversaire ? Vous avez dit anniversaire ???
Par la barbe de Poséidon, je suis vraiment gâtée. Quel merveilleux petit conte, je crois que je peux m'endormir paisiblement avec l'image de petit poisson dans son bocal côtoyant le majestueux Mendoza et sa cape resplendissante. Ah Poulpoula, cette sorcière un peu poivrote, heureusement qu'elle était là ! Même si j'ai énormément douillé après avoir avalé le contenu de cette fiole.
Merci de m'avoir fait revivre à travers ton texte le sauvetage du premier épisode, qui s'est exactement déroulé ainsi, désormais tout le monde connaît la vérité. Bref, un conte improvisé mêlant humour, nostalgie et onirisme, tout ce que j'aime.
Dōmo arigatō, ô illustre nonoko-san!
Et un énième merci à toi Cobra ! ^^
Merci de m'avoir fait revivre à travers ton texte le sauvetage du premier épisode, qui s'est exactement déroulé ainsi, désormais tout le monde connaît la vérité. Bref, un conte improvisé mêlant humour, nostalgie et onirisme, tout ce que j'aime.
Dōmo arigatō, ô illustre nonoko-san!
Et un énième merci à toi Cobra ! ^^
« Tout vient à point à qui sait attendre... ou plutôt, tout vient à point à qui sait m'attendre ! »
Re: Anniversaire ? Vous avez dit anniversaire ???
Avec quelques heures de retard, joyeux anniversaire Dek !
"Pardonne-moi Esteban, mais la mort ne m'émeut plus."
- Ra Mu
- Gardienne du temple - Modératrice
- Messages : 2072
- Enregistré le : 06 oct. 2013, 20:52
- Âge : 49
Re: Anniversaire ? Vous avez dit anniversaire ???
Nonoko San! Ton conte est un joli petit petit bijou dont tu as le secret. Qui se douterait de la force des bulles fulminées par un petit poisson? Notre Mendodo aurait été bullo-propulsé? Et moi qui croyais qu'il avait sauvé Esteban à la force de ses biceps huilés... Encore un mythe qui s'écroule. En tout cas c'est officiel, sa cape est "Piranha proof"!
- On s'est tout de même embrassés, cela ne signifie donc rien?
- HEIN? T'as embrassé Ambrosius?
- *soupir* Allez, déblaie!
HOP HOP HOP!
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- yupanqui
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Re: Anniversaire ? Vous avez dit anniversaire ???
Bon anniversaire Dek!
Désolé je suis en retard : je n’etais pas là ces jours derniers...
Bravo à Chacha et Nonoko nos superbes créatrices et artistes de génie !
Vive l’imagination et le talent féminins !
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« On sera jamais séparés »
- Raang
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Re: Anniversaire ? Vous avez dit anniversaire ???
o.o aurais-je oublié de souhaiter un bon anniversaire à DeK ?
oui, j'ai oublié. Alors...
BON ANNIVERSAIRE P'TIT POISSON !!!
oui, j'ai oublié. Alors...
BON ANNIVERSAIRE P'TIT POISSON !!!
"Notre monde a été bâti dans l'or et dans le sang"-Raang alias Rayan, 2017
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