Enfin j'ai réussi à rattraper mon retard de lecture, ça valait le coup de le faire en deux temps, car avec toutes ces aventures je m'étais perdue dans le château avec nos amis.

Comme à l'accoutumée, tu ne les ménage pas et il s'en est fallu de peu pour qu'ils se fassent réellement prendre au piège par ce vil connétable. Enfin, au moins il ne les surprendra plus avec ces manœuvres ragoutantes. Wow, la mixture hallucinogène a des effets puissants, je connaissais la «pisse de Caribou» (c'est de la bière), mais pas l'urine de renne aux amanites, c'est... spécial j'imagine !
D'ailleurs Zia n'en aurait-elle pas abusée, elle aussi, en se roulant dans l'herbe fraîche ?

Bien sûr, je plaisante très beau moment que tu nous offres et j'en redemande car les passages avec les enfants sont plutôt rares mais joliment écrits.
Petit détour à la maison, avant de s'envoler pour l'Égypte, cependant je ne suis pas certaine que l'annonce de Mendoza à Charles Quint se déroule aussi bien qu'avec la
señora Raquel. Aussi, je n'en sais rien donc je peux me tromper, mais comme tu as l'art des rebondissements en tout genre, je sais que ce couple maudit n'est pas à l'abri de se retrouver de nouveau face à face de celui qui les a mis dans ce pétrin, à savoir le nain de jardin diabolique aux cheveux de feu, communément appelé : Ambroise de Sarles.
J'adore et je dis «Vivement la suite !».