Haokah a écrit :badger leader a écrit :c'est une série initiatique. le but n'est pas d'ouvrir les 7 citées, mais bien de grandir en Homme juste.
Idem. x-) Les Cités ne sont en fait que le décorum de cet apprentissage, même si leur dimension symbolique est évidente - de même que le conflit Mu/Atlantide, en toile de fond, que les enjeux de la série doivent en quelque sorte "réactualiser"...
badger leader a écrit :moi je veux bien parier que la 7ème ne sera jamais ouverte.
Le renoncement fait partie des possibilités. Je suis ouvert à ce genre de propositions, parce que ça a du sens - un sens profond. Mais je pense que ça pourrait décevoir pas mal de monde...
Je suis tout à fait d'accord sur ce point, c'est l'itinéraire qui est le plus important. Mais je doute que les scénaristes aillent jusqu'à cette extrémité. C'est un pari risqué. D'autre part la découverte du nouveau rôle des médaillons, se chargeant d'informations au fur et à mesure, laissent penser que ce n'est que parvenu au bout du chemin qu'une décision pourra être prise. Ils auront besoin de tous les éléments à disposition pour en juger.
badger leader a écrit :Je ne connais pas pour en parler.
si tu as un autre exemple......
OK, à la réflexionAvatar est mal choisi car c'est une série pour Ados, donc plus sombre. Le héros, dotés de super pouvoirs a tué ses adversaires (mais ceux là voulaient aussi lui faire la peau, nuance de taille).
Donc pour un autre exemple, eh bien je dirai la série d'origine: le deuil des pères, le départ définitif de Tao de son île, le renoncement envisagé des cités d'or face à Ménator, l'échec des olmèques, le sacrifice du grand prêtre... Ni gnangnan, ni violent. J'ai fait exprès de ne pas parler des séquences de bataille, du coup de poignard de Calmèque, de la flèche que reçoit Papacayo. S'ils l'avaient voulu, les scénaristes auraient pu les évoquer indirectement. Ce genre de violence directe ne forme pas l'essentiel de la tension narrative.
Pour en revenir à la scène de la ziggurat, Je suis plus choquée par leur visages vengeurs et limite souriant. Puis, une fois le piège déclenché, ils se mettent à pleurer. C'est assez dérengeant.
Pour le côté technique, il était possible d'inventer des mécanismes dans la pyramide dont les enfants auraient compris la logique en premier lieu. Et, dans un second temps, les enfants auraient poussé Zarès à la faute en lui faisant déclencher un bidule sans avoir à le faire basculer dans une fosse de 30m de haut. Se faire embarquer dans un autre couloir aurait suffi, Cela n'a rien de "bisounours". Cela me fait penser, tout en écrivant, qu'Esteban a insisté pour sauver Marinché et le Docteur dans leur précipice. Il est devenu bien "cruel" cet enfant.