C'est dingue, j'ai beau savoir de quels épisodes sont extraits les différents décors et persos, cela reste de l'inédit à chaque nouveau montage.
Mais que complote donc Zarès et Gaspard ? Hâte de le découvrir, joli travail !
« Tout vient à point à qui sait attendre... ou plutôt, tout vient à point à qui sait m'attendre ! »
Whaou, Teeger, tu t'améliores de montage en montage
Le premier pourrait passer pour une capture d'écran sans aucun problème, et le deuxième est vraiment très bien composé !
Ambrosius/Zarès en a eu tellement marre qu'il songe à embaucher un tueur à gages ? Voilà qui promet !
I shall be telling this with a sigh
Somewhere ages and ages hence:
Two roads diverged in a wood, and I—
I took the one less traveled by,
And that has made all the difference.
L'association entre le coup de poing à venir de Mendoza et l'expression d'Esteban qui en rit d'avance est particulièrement savoureuse ! J'aime vraiment beaucoup et je plains ce fameux Abdul !
Par-contre, il va falloir arrêter avec tous ces teasers qui rendent l'attente de plus en plus pénible !
(non, non, je plaisante ! Surtout, continue !)
I shall be telling this with a sigh
Somewhere ages and ages hence:
Two roads diverged in a wood, and I—
I took the one less traveled by,
And that has made all the difference.
J'aime bien tes derniers montages, car le choix des personnage et leur placement sont très naturels.
Sauf peut être, mais c'est un détail, dans "à la recherche d'un guide" où Laguerra semble sous dimensionnée et surtout dans l'ombre alors que tous les autres sont en plein soleil. Mais je pense qu'en jouant su la luminosité du personnage, isolément, tu peux facilement modifier cet aspect.
Continue et bon courage.
- On s'est tout de même embrassés, cela ne signifie donc rien?
- HEIN? T'as embrassé Ambrosius?
- *soupir* Allez, déblaie!
HOP HOP HOP!
TEEGER59 a écrit : 26 janv. 2017, 23:25
Sous-dimensionnée? Pourtant, j'ai fait gaffe par rapport à la taille de Mendoza. Ses yeux à elle sont à la hauteur de sa bouche (à lui).
Je pense plus en terme de proportions globales, pas seulement sa hauteur. Mais comme je l'ai dit, c'est du détail.
- On s'est tout de même embrassés, cela ne signifie donc rien?
- HEIN? T'as embrassé Ambrosius?
- *soupir* Allez, déblaie!
HOP HOP HOP!
De nouveau, un bon chapitre (enfin c'est le premier mais passons...) et un peu touchant vers la fin, bravo.
''C'est ainsi: il donne et il prend. Il en cache certain, il en révèle d'autre. Le désert est toujours changeant."
Hum...et si...oui, c'est philosophique à ce niveau là si on remplace le désert par la vie
Teeger, je dois te dire que cette première partie (de l'épisode 1) m'a rappelé bien des souvenirs !
Il faut savoir que j'ai grandi en Afrique subsaharienne, et nous avions souvent le droit à de courtes tempêtes de sables, sans oublier les impressionnantes rafales de l'harmattan.
Ce passage sur le désert qui donne et qui reprend est tout à fait juste, et correspond bien à ce que l'on pouvait ressentir face à la puissance des forces naturelles.
Et j'aime bien le fait que Mendoza se permette de gentiment taquiner Hakim.
Vivement la suite !
I shall be telling this with a sigh
Somewhere ages and ages hence:
Two roads diverged in a wood, and I—
I took the one less traveled by,
And that has made all the difference.