Jusqu'au bout de la déesse. (du côté de l'armée Espagnole)

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Re: Jusqu'au bout de la déesse. (du côté de l'armée Espagnole)

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Chapitre 3




Pizarra rejoignit Esteban et Zia dans la salle du gouvernail puis s'y arrêta brusquement. Mendoza donna des ordres aux marins et aperçut les enfants dans la salle

- Sancho, Pedro et les enfants restez ici, vous autres, allez hisser la grande voile, nous allons essayer de détourner cette tornade !
Les marins se mirent à exécuter rapidement les ordres du navigateur.

J'espère que la situation ne s'aggravera pas plus, pensa Mendoza.
Au même moment, le commandant Gomez et Gaspard furent entrer dans la cale et constatèrent que la jeune fille ne fut plus là dedans, se qui vexa Gomez.

- Je parie que Mendoza la emmené dans la salle du gouvernail... répondit-il.

- Grrrr ce maudit Mendoza à eut un coup d'avance sur nous, il commence à me taper sur les nerfs ! dit Gaspard à Gomez.

- Ne perdons pas de temps, allons la chercher.
Alors qu'ils remontèrent pour aller dans la salle du gouvernail, le commandant Perez les rejoignirent en courant

- Venez vite dans la salle du gouvernail commandant Gomez, Mendoza à besoin d'aide ! répondit Perez.

- Mendoza à besoin d'aide, hein ? répondit Gaspard froidement.

- Cessez vos gamineries Gaspard, je ne donnerai pas cher de notre peau si ce navire coulerai et puis n'oubliez pas les cités d'or, rétorqua Gomez.

- Oh oui bien sûr, n'oublions pas les cités d'or, répéta aussitôt Gaspard.
Lorsqu'ils arrivèrent dans la salle, Gaspard remarqua aussitôt le jeune Esteban.

Tiens tiens Mendoza, ah ah ah, tu ne vas pas me dire que ce gamin est avec toi, répondit-il.
Les enfants se retournèrent brusquement vers Gaspard. Mendoza et Sancho tinrent toujours la barre.

- Ce n'est pas le moment de parler de ça Gaspard, une tornade arrive droit sur nous, nous devons à tout prix la contourner, dit Mendoza en tenant la barre avec Sancho.
Le commandant Perez se mêla à la discussion.

- Écoutez Mendoza, capitaine Gaspard, c'est un bon navigateur, sans lui nous serions déjà nauffragé, répondit Perez effrayé.
Pizarra recula derrière Esteban et Zia en posant sa main sur son coeur apeurée.

- Bon très bien, dit-il en soupirant, laissez moi faire !
Il avança vers la barre.

- A-att-attenti-tion, répondit Sancho à Gaspard.

- Écarte-toi moucheron !
Gaspard poussa violemment Sancho et prit la barre. Mendoza recula de la barre.

- Hé mais oh, non mais qu'est ce qui vous prend !? dit Pedro à Gaspard.

- Tiens, elle ne bouge pas ? se demanda t-il.
Gaspard commença à la tirer de plus en plus fort. Mendoza vit la catastrophe arriver.

- Gaspard non ! cria Mendoza.
Mais celui-ci la cassa.

- Oh oups ! répondit-il en tenant les 2 morceaux cassé dans ses mains.
Le commandant Perez se mit rapidement en colère.

- Que diable avez vous fait capitaine Gaspard !? rétorqua le commandant Perez.

- Je crois que j'y suis allé un peu fort, je vous prie de m'excuser commandant Perez.
Le commandant Gomez poussa un soupir de désespoir en posant sa main sur son front et Mendoza profita de ce moment pour se moquer de Perez.

- Ah ah ah, une fois de plus, commandant Perez, votre navire est encore plus en mauvais état, ricana Mendoza.

- Oh toi Mendoza, je vais t'étriper ! cria furieusement Gaspard.

- Allons calmez vous capitaine Gaspard, ce n'est pas le moment ! répondit Perez.
Le commandant Perez essaya de les calmer mais Esteban aperçut la tornade dans le hublot du navire et les coupa.

- Regardez, le bateau se dirige rapidement vers la tornade ! cria t'il.

- Quoi !? répondit aussitôt Mendoza.
Tous se mirent à regarder en direction de la tornade qui celle-ci se rapprocha à chaques secondes.

- Oh non quel malheur, nous sommes tous perdus, oh lala ! répondit Perez désespéré.
Gomez se retourna rapidement et profita de ce moment pour récupérer la jeune Pizarra.

- Assez discuté, tu vas venir avec moi ! répondit Gomez en attrapant le bras de Pizarra.

- Ah lâchez moi ! cria t'elle.
Esteban, Zia, Mendoza, Pedro, Gaspard et Perez se retournèrent brusquement vers Gomez et Pizarra après avoir entendu les cris. Esteban courut pour lui venir en aide.

- Vous allez la lâchez vous !

- Éloigne toi de ça, mon petit, si tu ne veux pas avoir d'ennuis, dit-il à Esteban en dégainant son épée et en lui souriant malicieusement.
Des marins regardèrent la scène depuis le haut de l'échelle.

Ne me regardez pas sans rien faire, mettez les canots de sauvetage en mer ! répondit Gomez aux marins.

- A vos ordres mon commandant, répondirent t'ils en même temps.
Gaspard vit le commandant Gomez s'occuper de la jeune Pizarra et répondit aussitôt :

- Excellent travail mon commandant, je vais me charger de la petite Zia maintenant... whouaaaaahhhh !!
Le bateau se pencha vers la droite à tous tombèrent à terre. Pizarra bénéficia de se moment pour s'éloigner de ce dernier qui voulut la prendre. Gomez se releva lui aussi immédiatement.

- Quelle déception... répondit-il en reculant face à Mendoza et aux enfants en rengainant son épée.
Puis il monta rapidement l'échelle. Voyant ce dernier partir sans lui, Gaspard se releva également mais le bateau repencha de nouveau.

- Seigneur Gomez attendez moi-aahahhaaah ! cria t'il en retombant et en glissant jusqu'à se qu'il arriva sous l'échelle.

- Nous nous reverrons Mendoza, crois le moi, je te trancherai avec le bout de mon épée, ah ah ah ah ! ricana t'il en montant l'échelle.
Le commandant Perez se releva lui aussi.

- Ehhh mais attendez moi ! cria t'il.
Esteban courut vers lui pour le couper le chemin.

- Oh non, vous, vous restez avec nous ! répondit Esteban à Perez en tendant ses bras sur le côté.

- Rah, mais vas tu me laisser passer toi !? répondit Perez.

- De toute façon il est déjà trop tard, ils sont tous partis, allez voir par vous même, répondit Mendoza en se relevant calmement.

- C-comment !? dit-il en se précipitant de monter à l'échelle.
Il aperçut que tous les canots eurent été déposés en mer.

- Oh les lâches, ils ont osé m'abandonner, dit-il à voix basse.
Une petite fissure se forma juste au dessus de Sancho et de l'eau s'engouffra et le réveilla brusquement.

- Et bah dis donc, tu trouves toujours le moment de dormir même dans des situations pareilles, répondit Pedro à Sancho.

- M-mais c'est p-pas de m-ma m-ma faute, c-c-c-c-c'est c-celle de... oh et puis z-zut, dit Sancho en baissant la tête.
Mendoza rejoignit le commandant Perez en haut de l'échelle.

- Et bien comme nous n'avons plus le choix, nous devons construire un radeau.

- U-un radeau !? répondit surpris Perez à Mendoza.
Les enfants, Sancho et Pedro les rejoignirent également et celui-ci continua de questionner Mendoza.

Vous pensez que nous pourrions construire un radeau avec les restes de l'Esperanza !?

- Évidemment, avec un peu d'imagination et le tour est joué, répondit-il alors en se tournant vers Perez.

Sancho ! Pedro ! Aidez moi à arracher quelques plantes !

- On te suis Mendoza ! dit Pedro.
Les trois enfants sortirent de la salle et rejoignirent Mendoza.

- Nous aussi nous voudrions t'aider Mendoza ! demanda Esteban.

- Parfait, avec quelques mains en plus, nous devrions avoir fini avant le lever du soleil.
Esteban sourit plus acquiesça avant d'aller faire des rames. Zia et Pizarra allèrent l'aider. De son côté, Perez les regarda faire.
Lorsqu'ils eurent fini le radeau, Perez alla l'examiner.

- Excellent travail, nous avons tous fait du bon boulot !
Pedro se tourna aussitôt vers lui.

- Vous plaisantez au moins, vous n'avez même pas participer à la construction, répondit Pedro.
Celui-ci se retourna vers lui.

- Comment oses tu me parler de la sorte, évidemment que j'ai participé à sa construction ! répondit-il vexé.
Puis il alla voir Mendoza.

- Mais oui bien sûr, dit Pedro en levant les yeux au ciel.

- L-la grosse v-vache n'a même p-pa-pas bougé, gnée, gnée, répondit Sancho en lui faisant des grimaces.

- Et bien Mendoza, quand partirons nous ? Le navire commence déjà à sombrer !

- Pas maintenant commandant Perez, malgré qu'il fait nuit, le vent ne souffle pas assez pour que nous embarquons dessus.

- Bon très bien mais j'espère que ça prendra pas longt-aaaaahhhhh ! Que se passe-t-il !?
Des parties du navire commença à se détacher et le fit trembler.

- Vite, tous sur le radeau ! répondit rapidement Mendoza.
Pizarra tomba en avant mais Esteban la rattrapa de justesse. La jeune fille répondit timidement.

- ( soupir) Merci beaucoup Esteban !...
Elle regarda son pendentif pendant quelques instants puis se secoua la tête pour oublier ses souvenirs qu'elle vint de penser afin de marcher avec Esteban et Zia vers le radeau. Mendoza poussa le radeau sur le bord du bateau.

- Aller commandant Perez, il faut monter sur le radeau, dit Pedro.

- Vous croyez qu'on aura tous de la place ?

- Mais oui allez y ! répondit-il en le poussa sur le radeau.

- Hé là ! rétorqua Perez à Pedro qui celui-ci se moqua avec Sancho.
Mendoza continua de surveiller le vent et le bateau.

- C'est le moment, montez tous dessus ! ordonna t'il.

Sancho, Pedro et les enfants montèrent dessus, en se collant à Perez. Mendoza poussa le radeau en emportant son coffre avec lui et quelques provisions. Le radeau atterrit dans l'eau. Ils regardèrent le navire se faire engloutir par l'océan avant que celui-ci disparu pour toujours.
Les enfants regardèrent la mer, terrifiés. Perez fit une remarque.

- Nous manquons de place, qu'est ce que je vous avez dit !

- C-c'est vous qu-qui prenez t-t-tou-toute la place a-avec votre g-gros...
Pedro lui donna un coup sur les hanches pour le faire taire.

- Hein ? répondit Perez en se tournant vers Pedro et Sancho.

- Rien, il voulait rien dire, hehehe, menta Pedro en faisant des petits ricanements sur Perez.
Les enfants rigolèrent silencieusement.
Un peu plus tard, la mer devint plus calme.

- Nous devons être tout proche du nouveau continent, continuez de ramer vers l'ouest, dit Mendoza.

- Bien je sais qu'avec un bon navigateur, rien ne pourra nous arriver, dit le commandant Perez en se vantant de Mendoza.
Mendoza se retourna vers lui en lui jetant un regard glacial. Pedro avança vers Mendoza.

- Dis Mendoza, tu es sur que nous devons nous trimballer partout avec ce commandant ? dit Pedro en chuchotant.

- Je sais que ce commandant peut se montrer énervant mais je doute que nous n'avons pas le choix Pedro, dit-il en regardant à nouveau sa carte.
Esteban parla avec Zia pendant que Pizarra fut dans ses pensées, elle imagina quelle situation elle pourra rencontrer lors de cette aventure. De son côté, Mendoza examina la carte marine que celui-ci eut prit avant le naufrage du navire, Sancho et Pedro comptèrent les rations et Perez continua de se plaindre.

- Hurgh, nous sommes trop serré les uns contre les autres, nous risquons de nous étouffer.
Pedro eut une idée en tête.

- Hehehe, je sais comment arranger ça, dit Pedro tout bas en se frottant les mains.

- Q-qu'est ce q-qu-que tu veux...

- Regarde ça, répondit-il en faisant un clin d'œil.

Oh oups je perds l'équilibre ! dit Pedro en se penchant brusquement sur le commandant qui le fait tomber à l'eau.

Oh excusez ma maladresse commandant Perez, dit-il en se frottant la tête.
Les enfants se tourna vers le commandant qui fut dans l'eau.

- Espèce de maladroit, tu ne pouvais pas faire plus attention !

- Hé vous aviez raison commandant, il y a beaucoup plus de place sur le radeau, hehehe, dit Pedro en s'allongeant sur le radeau et en se moquant avec Sancho.
Mendoza replit la carte et se dirigea vers le commandant.

- Veuillez m'excuser commandant Perez mais nos chemins vont bientôt se séparer, nous devons aller sur nouveau continent, ce fut un plaisir de vous avoir rencontré, ha ha ha ! répondit Mendoza à Perez.
Les deux marins acquiesça sur les paroles du navigateur mais Esteban vit rapidement un requin se diriger vers le commandant.

- Tu vas me le payer Mendoza, sache le bien !

- Mendoza regarde moi la taille de ce gros poisson ! dit Esteban en pointant du doigt vers le requin.
Mendoza regarda le poisson.

- Esteban ce n'est pas un simple poisson, c'est un requin ! répondit-il aussitôt.

- Un requin !? répondit Esteban affolé.

- Oh lalala je ne veux pas voir ça ! dit Pedro en se cachant le visage.

- M-m-mo-moi de m-même... rétorqua Sancho à Pedro en se cachant également le visage.
Les enfants le regardèrent bouche-bée.

- Hein quoi ? dit Perez en se tournant vers le requin affamé.

Aaaah laisse moi tranquille, va trouver ta nourriture ailleurs, répondit-il au requin.
Le commandant se mit à nager en fuyant le requin à toute allure.
Sancho et Pedro enlevèrent leurs mains de leur visage et virent le commandant partir.

- Hehehe bah alors commandant, pourquoi avez vous nous cacher que vous nagiez si rapidement, hehehe, cria Pedro.

- P-plus vite q-qu'-qu'une fu-fusée !
Tous regardèrent le commandant s'éloigner de plus en plus de nos héros jusqu'à se qu'il disparaisse.

- Et bon voyage surtout ! cria Pedro.
Pizarra regarda calmement la mer quand soudainement la lumière sur son bras se ralluma et fit un léger bruit. Elle recula légèrement pour éviter que personne ne le vit et retroussa sa manche, se tourna en direction de la flèche et fut étonnée.

- Regardez, ne serait-ce ce pas une île que nous voyons là bas !? cria t'elle en montrant du doigt l'île lointaine.
Mendoza l'examina.

- Elle a raison, c'est bien une île que nous voyons au loin !

- Une île !? Youpiiii ! crièrent Sancho et Pedro en se dépêchant de ramer avec leur mains.

- Sancho et Pedro ont raison, dépêchons-nous de ramer vers cette île.

- Franchement Pizarra, tu as vraiment eus l'œil pour la voir d'aussi loin ! répondit Esteban en se tournant vers la jeune fille.

- Oh tu sais, ce n'est rien d'aussi impressionnant, répondit-elle timidement en regardant discrètement son bras.
Puis tous se mirent à ramer en direction de l'île.


Au même moment, sur un des canots de sauvetage, les marins ramèrent pendant que le commandant Gomez eut les yeux fermés en croisant les bras, l'air pensif. Gaspard le remarqua tout de suite.

- Excellence, à quoi pensez vous donc ?

- Et bien je pense, mon cher Gaspard, que nous devons impérativement récupérer les deux jeunes filles si nous ne voulons pas avoir la fureur du gouverneur Pizarro, dit-il toujours les yeux fermés.

- Oh quand je pensais que nous étions si proche du but, toujours à cause de ce misérable moucheron qui traine toujours là quand il ne faut pas.
Gaspard se leva et sortit son épée de son fourreau et fit des grands gestes avec en rêvant.

Je l'imagine bien en face de moi, épée à la main, et... BAAAAM ! Ho ho wouaaaah !
Gaspard fit de grands gestes et tomba en arrière. Gomez ouvrit ses yeux et leva sa tête afin de contempler la mer calme.

- Je suis persuadé que ces enfants sont encore sains et saufs.
Gaspard se releva.

- Beuh, qu'est ce qu'il vous fait dire cela mon commandant ?

- Nous avons bel et bien aperçut le navire se décomposer en plusieurs morceaux, mais as tu toujours vu les enfants à bords ? répondit-il à Gaspard en se retournant vers lui.

- Et bien Excellence, nous étions très loin du navire mais je peux vous dire avec certitude que je ne les ai plus vu a bord.
Puis Gaspard le questionna.

Dîtes seigneur Gomez, où allons nous au juste ?

- Nous allons vers la forteresse de Tumbes, nous devons avertir au gouverneur Pizarro que la petite Zia s'est encore échappé et que nous avons enfin retrouvé la jeune Pizarra après tant d'années.
Le commandant repivota la tête en direction de la mer.

Hum, je ne comprends toujours pas comment la jeune Pizarra n'a pas changé en quelques années...Hum, après tout nous n'étions pas sur place... se demanda t-il.

- Oh vous savez seigneur Gomez, les enfants peuvent grandir d'une vitesse folle.

- Oui je ne dis pas le contraire, cependant, elle correspond toujours à la description que le gouverneur Pizarro nous à faite par rapport à se qu'avait dit le commandant Gonzalez, à part peut-être les vêtements, je ne sais même pas où elle a bien put se les procurer. Enfin avant toute chose, nous sommes persuadés que-.
Celui-ci se fit couper la parole par un marin qui donna l'alerte.

- Alerte ! Grosse vagues par tribord avant !


- Comment ?! répondit immédiatement Gomez.
Gomez et Gaspard se retournèrent derrière eux et virent les vagues se rapprocher.

Vite, baissez vous et cramponez-vous sur le canot ! cria le commandant Gomez à Gaspard et aux marins.
La première vague passa sous le canot et firent presque tombé tous les marins.

- Oh seigneur Gomez, je n'aime pas ça du tout... répondit Gaspard en voyant les marins à l'eau.

- Tais toi et accroche toi, la prochaine va bientôt arriver !
La deuxième frappa à nouveau le canot et le fit pencher sur le côté. Le reste des marins fut dans l'eau et Gaspard perdit l'équilibre et commença à se pencher lui aussi sur le côté.

- Aaaahh à moi, seigneur Gomez ! cria t'il.

- Ah Gaspard !
Gomez se releva rapidement pour le secourir et celui-ci tira sur son bras mais Gaspard tomba sur Gomez.

- Idiot, si je ne n'étais pas là, tu seras déjà mort dans la mer ! dit t'il furieux.

- Oh excusez moi Excellence...Oh regardez un navire, nous sommes sauvé !
Gaspard se releva et cria en espérant que le navire l'entendit pendant que Gomez se releva tranquillement en essuyant sa veste. Le navire changea de trajectoire et arriva vers le canot des Espagnols. Ils leurs envoyèrent une échelle de corde et montèrent dessus.

- Ah que ça fait du bien de retourner sur un bateau ! dit Gaspard en soupirant.
Le capitaine du navire avança vers eux.

- Et bien, je peux savoir ce qui vous êtes arrivé ?
Gaspard courut aussitôt vers la capitaine du navire.

- Tout de suite capitaine ! Nous étions à bord d'un navire pour le Nouveau Monde mais à cause d'un marin qui ne sait même pas naviguer, grrrr je vais le faire payer à ce-.

- Silence Gaspard, dit Gomez en lui coupant la parole.
Puis il se tourna vers le capitaine du navire.

Comme vous a dit le capitaine Gaspard, nous étions en route à bord d'un navire espagnol pour le Nouveau Monde, mais celui a fait naufrage à cause d'une terrible tornade.

- Ah le Nouveau Monde, je vois, répondit-il à Gomez.

- Nous voudrions, s'il vous le voulez bien, que vous nous emmeniez voir le gouverneur Pizarro à Tumbes, reprit Gomez au capitaine.

- Tumbes, ah ! Je sais parfaitement où il se trouve, aller vous autres, cap au sud ! ordonna le capitaine aux marins.
Gomez se reprocha des bords du bateau et Gaspard le rejoignit. Celui-ci parla tout bas à Gaspard.

- Notre aventure est loin de se terminer, je vais ramener Zia et Pizarra au gouverneur Pizarro, et les cités seront bientôt à nous, dit-il en souriant malicieusement.

- Votre Excellence, si je peux me permettre, vous savez où elles se trouvent ?

- Le quipu appartenant à Pizarro va sûrement nous en apprendre plus, je ne les laisserai plus s'échapper !



A suivre ;)
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Message par Atlanta »

Eva a écrit : 22 avr. 2022, 18:59 Pas mal, pas mal du tout, je suis surprise que tu l'ai compris x)
rhuuum faisons l'équation :
- elle n'a pas bougé physiquement
- Zia a le médaillon, donc ça veux dire que papacamayo a eu le temps de l'avoir
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Message par Eva »

Et bien oui il pourrait l'avoir mais pour faire quoi ? Certes il connaît la légende mais sans l'autre médaillon (et évidemment il ne sait pas qui l'a parce que Esteban n'était pas encore né, le début de l'histoire se passe en 1519, alors que Esteban, lui, est né 1 an plus tard), il ne peut pas trouver les cités d'or. C'est pourquoi il l'a passé à Zia à l'âge de 7 ans, juste avant que Pizarro ne l'enlève de son village.

Bref c'est un peu compliqué à expliquer correctement, j'espère qu'au moins tu as compris pourquoi il ne pouvait pas le garder ^^'.
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Message par Atlanta »

Eva a écrit : 25 avr. 2022, 11:27 Et bien oui il pourrait l'avoir mais pour faire quoi ? Certes il connaît la légende mais sans l'autre médaillon (et évidemment il ne sait pas qui l'a parce que Esteban n'était pas encore né, le début de l'histoire se passe en 1519, alors que Esteban, lui, est né 1 an plus tard), il ne peut pas trouver les cités d'or. C'est pourquoi il l'a passé à Zia à l'âge de 7 ans, juste avant que Pizarro ne l'enlève de son village.

Bref c'est un peu compliqué à expliquer correctement, j'espère qu'au moins tu as compris pourquoi il ne pouvait pas le garder ^^'.
oh là, tu réponds à quoi ? je me pers !
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Message par Eva »

A ton deuxième "-", je t'ai juste corrigé parce que ce n'était pas vraiment ça.
Atlanta a écrit : 25 avr. 2022, 09:06
- Zia a le médaillon, donc ça veux dire que papacamayo a eu le temps de l'avoir
Je ne suis peut-être pas comme vous, je ne sers peut-être qu'à donner la possibilité de rendre ce que vous voulez, je ne suis peut-être qu'une descendante des Dieux, mais je sais, qu'avec moi, le monde peut ouvrir une deuxième porte ;) : L.P
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Message par Atlanta »

Eva a écrit : 25 avr. 2022, 13:02 A ton deuxième "-", je t'ai juste corrigé parce que ce n'était pas vraiment ça.
Atlanta a écrit : 25 avr. 2022, 09:06
- Zia a le médaillon, donc ça veux dire que papacamayo a eu le temps de l'avoir
je veux dire, qu'il a eu le temps d'avoir une fille après pizzara genre 7 ans après !
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Message par Eva »

Atlanta a écrit : 25 avr. 2022, 13:15
Eva a écrit : 25 avr. 2022, 13:02 A ton deuxième "-", je t'ai juste corrigé parce que ce n'était pas vraiment ça.
Atlanta a écrit : 25 avr. 2022, 09:06
- Zia a le médaillon, donc ça veux dire que papacamayo a eu le temps de l'avoir
je veux dire, qu'il a eu le temps d'avoir une fille après pizzara genre 7 ans après !
Techniquement, je dirai plutôt 9 ans ( Zia en a 11 donc elle est née 2 ans après ) mais pourquoi pas après tout 8) :lol:
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Message par Atlanta »

ah, ok ^^' désolée.
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Message par Eva »

T'inquiète pas, c'est vrai que je n'avais pas vraiment pensé que le début serait difficile à comprendre x')
Je ne suis peut-être pas comme vous, je ne sers peut-être qu'à donner la possibilité de rendre ce que vous voulez, je ne suis peut-être qu'une descendante des Dieux, mais je sais, qu'avec moi, le monde peut ouvrir une deuxième porte ;) : L.P
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Message par Atlanta »

Eva a écrit : 25 avr. 2022, 17:05 T'inquiète pas, c'est vrai que je n'avais pas vraiment pensé que le début serait difficile à comprendre x')
le début du livre ? pas du tout ^^
le début du message ?
si, pourquoi ?
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