Les Mystérieuses Cités d'Or

Résultat d'un cours de cuisine...
: Alors les enfants, qu'est-ce que vous m'avez préparé comme dessert aujourd'hui ?
Elena fièrement : J'ai réussi dix macarons !
: C'est bien Elena, je te félicite ! On les mangera ce soir au diner.
Pablo en nage : J'ai fait des glaces !
: Avec cette chaleur, tu as bien raison ! Excellente idée !
Paloma en faisant la moue : Mes biscuits à la cuiller sont ratés... La pâte à choux n'a pas gonflée.
: Ce n'est pas grave, tu les réussiras la prochaine fois...
Joaquim triomphant : J'ai réussi un trois-tiers !
: Un quoi ?
Joaquim : Un trois-tiers. Je voulais faire un quatre-quarts, mais ils ont pris tous les œufs !

Xia a écrit : ↑13 mars 2021, 14:19 Résultat d'un cours de cuisine...
: Alors les enfants, qu'est-ce que vous m'avez préparé comme dessert aujourd'hui ?
Elena fièrement : J'ai réussi dix macarons !
: C'est bien Elena, je te félicite ! On les mangera ce soir au diner.
Pablo en nage : J'ai fait des glaces !
: Avec cette chaleur, tu as bien raison ! Excellente idée !
Paloma en faisant la moue : Mes biscuits à la cuiller sont ratés... La pâte à choux n'a pas gonflée.
: Ce n'est pas grave, tu les réussiras la prochaine fois...
Joaquim triomphant : J'ai réussi un trois-tiers !
: Un quoi ?
Joaquim : Un trois-tiers. Je voulais faire un quatre-quarts, mais ils ont pris tous les œufs !

J'aimerais rire mais je suis paumée

Ah oui, Javier aurait pu y participer en faisant un gâteau aux pommes

Juan-Carlos Mendoza est sur le point d'épouser la señorita Laguerra, après maintes épreuves et aventures périlleuses. Il va donc se confesser.
: Quelle pénitence m’ordonnez-vous, mon père ?
Le concerné réfléchit un instant.
Julio : Comment se nomme votre future épouse déjà ?
Le capitaine sourit.
: Isabella Laguerra, mon père.
Son interlocuteur réprime un rire nerveux et pose une main ridée sur l'épaule de l'Espagnol.
Julio : Alors pourquoi réclamer une deuxième pénitence, mon fils ?

n'est pas une pénitence enfin, M. le curé !

kally_MCO a écrit : ↑13 mars 2021, 14:58 Juan-Carlos Mendoza est sur le point d'épouser la señorita Laguerra, après maintes épreuves et aventures périlleuses. Il va donc se confesser.
: Quelle pénitence m’ordonnez-vous, mon père ?
Le concerné réfléchit un instant.
Julio : Comment se nomme votre future épouse déjà ?
Le capitaine sourit.
: Isabella Laguerra, mon père.
Son interlocuteur réprime un rire nerveux et pose une main ridée sur l'épaule de l'Espagnol.
Julio : Alors pourquoi réclamer une deuxième pénitence, mon fils ?

mon perso favori n'est pas une plaie !
Sinon bien trouvé je ne m'y attendais pas !

Gaspard s'est reconverti dans l'élevage de pigeons voyageurs. Un jour, il déclare à une voisine :
content : J'ai créé une nouvelle race d'oiseaux ! J'ai réussi à faire un croisement entre un pigeon voyageur et un pic-vert !
: Toutes mes félicitations ! Et quel est l'intérêt ?
: Non seulement il vous apporte le courrier, mais en plus, il frappe à la porte !

En provenance du Pays Basque, un homme d’Église se rend à Barcelone.
Soudain le ciel s’obscurcit, le vent se lève et des éclairs illuminent les ténèbres. Dans une atmosphère digne de l’Apocalypse, il ne distingue rien à trois mètres et sent son cœur battre à tout rompre. Malgré la tempête déchainée, il se met à genoux et commence à prier :
Ignace de Loyola : Seigneur, aidez-moi !
C’est alors qu’un halo lumineux apparait sous ses yeux tandis qu’un chariot avance lentement vers lui. L’Espagnol monte dans la voiture envoyée par Dieu, ferme la porte et soupire de soulagement… avant de voir qu’il est seul et que la carriole avance sans aucune intervention quelconque et encore moins divine.
La voiture redémarre doucement et le brave prêtre voit, horrifié, le chemin prendre un virage serré. Pris de panique, il songe au moyen de descendre de cette machine satanique qui avance de plus en plus vite quand, tout à coup, une main noire surgissant de nulle part prend le guidon et le fait pivoter. Paralysé par la peur, il s’accroche de toutes ses forces à son siège. Il reste immobile et constate que la même chose se reproduit à chaque tournant.
Terrorisé, Loyola réussit à rassembler le peu de courage qui lui reste et descend de la voiture en courant. Il demande asile à la première maison qu’il trouve et commande un double-verre d’eau-de-vie.
en voyant la croix : Vous… vous… vous êtes sûr mon père ?
Ignace de Loyola : Certain ! Dieu m’a abandonné ! Vous ne devinerez jamais ce qui m’est arrivé…
Une heure plus tard, le prêtre en est à sa cinquième bouteille quand deux hommes et une femme entrent dans la taverne, exténués et trempés jusqu’aux os :
furieux : Ah bah tenez ! Le voilà, l’abruti qui s’est assis dans la Mumobile pendant qu’on poussait !

Je la connaissais, celle-là!

Géniale cette blague ! Bravo !