A la recherche de l'Empire perdu

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Re: A la recherche de l'Empire perdu

Message par Atlanta »

Génial ! l'empire perdu, le retour !
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Re: A la recherche de l'Empire perdu

Message par Xia »

Chapitre 26 : La Dame de Paynala


Juillet 1519, Punta Villa Rica, Empire aztèque

— Ils ont été arrêtés, señor, annonça le garde en s’inclinant avec respect devant le couple.
— Bien. Amène-le-moi. Le plus petit, m’as-tu dit ? demanda une voix masculine en se tournant vers la femme.
Si señor, acquiesça-t-elle.
— Parfait. Nous approchons du but, fit l’homme dans un rictus de satisfaction.

Le rire résonna dans la cellule sombre.
Hilare, Fernando dut s’appuyer contre un mur pour ne pas s’écrouler. Malgré le faible éclat du jour qui leur parvenait du monde extérieur, il pouvait distinguer – ou du moins deviner – le regard noir que lui lançait Athanaos.
— Lorsque les fioles d’Ambrosius sont tombées par la faute de ta fille il y a deux ans, je ne me rappelle pas avoir ri quand tes cheveux ont viré au rouge !
Non, à peine !
— Attends… Parce que c’était à cause d’Isabella ?! fit le Docteur, abasourdi.
— Évidemment ! Elle jouait avec au début de la matinée, rétorqua l’Anatolien.
Les lèvres pincées, Laguerra s’accroupit et examina les débris sur le sol rocailleux.
— Je crois qu’on a oublié la coriandre…
— Parce qu’il fallait rajouter de la coriandre ?! C’est vraiment la dernière fois que je te suis dans tes idées ! À l’avenir, tu te débrouilleras tout seul !
Si on sort d’ici, soupira Athanaos.
Cela faisait maintenant plusieurs jours qu’ils préparaient une essence destinée à faire sauter la porte de leur cachot. Ce sera une belle explosion, avait assuré Fernando. Les alchimistes avaient prévu de lancer leur composé contre l’accès barricadé après un décompte de trois. Malheureusement, la bombe s’était échappée des mains du Portugais avant. Si ce dernier, par réflexe, avait eu le temps de se protéger le visage, le Grec, lui, l’avait reçue en pleine face.
— Ç’aurait pu être pire…, osa timidement le coupable.
Non seulement le projectile n’avait rien fait sauter, mais en plus, la belle crinière noire d’Athanaos avait blondi. Fernando fronça les sourcils :
— Oh mais… Non, quand même pas à ce point…
Il s’approcha plus près de son ami.
— Si, j’en ai bien peur…
— Quoi ?
— Tes yeux…
— Qu’est-ce qu’ils ont, mes yeux ?!
Ils entendirent un cliquetis derrière eux. Quelqu’un ouvrait la porte. Visiblement, la détonation avait éveillé l’attention des gardes du fort, bien qu’ils fussent à plusieurs mètres sous le sol d’entrée.
Le Docteur poussa un soupir de soulagement.
Sauvé par le gong… ou pas.
— Ils sont devenus bleus.

— Avance !
Fernando grimpa les marches quatre à quatre d’un escalier en colimaçon sans rambarde, suivi de près par un soldat qui le poussait sans ménagement vers une grande porte en bois. Plus d’une fois, il avait manqué de tomber dans le vide, mais il se rattrapait de justesse, pensant à sa fille envolée avec Ambrosius et à Athanaos, écroué à ses côtés dans la pièce poussiéreuse qui leur servait de cellule. Il allait enfin connaitre l’identité de leur geôlier et tenter de négocier leur libération.
Car, après la fuite déconcertante du Français, les évènements avaient pris une tournure pour le moins inattendue. Si, dans la première heure, ils avaient été conduits sans surprise devant l’empereur Moctezuma II, des soldats espagnols s’étaient interposés en échangeant quelques propos intelligibles avec l’Aztèque. Ce dernier avait finalement hoché la tête et donné des ordres pour effectuer leur transfert dans un lieu inconnu.
— Entre ! ordonna la voix ferme du garde.
Le Docteur s’exécuta, mais trébucha sur un tapis et s’étala sur le sol.
— Fernando de Lagurra ! s’écria un homme, avec une pointe de surprise dans la voix.
Il releva la tête au moment où son interlocuteur s’avançait, laissant un rayon de lumière dévoiler ses traits encore jeunes. À cette intonation familière, Laguerra entrevit une lueur d’espoir.
— Frère Gerónimo ?! Mais… que faites-vous ici ?
L’autre – qu’il croyait mort depuis des années – eut un rire mauvais :
— Ce que je fais ici ?! C’est tout ce que tu trouves à dire ? Malinalli, c’est une plaisanterie ?! Ne me dis pas que c’est lui, notre traducteur ?
Si señor, fit sa compagne, visiblement inquiète. Mais j’ignorais que vous vous connaissiez.
— Eh bien, maintenant, tu le sais ! lui répondit-il sèchement. Relève-toi Fernando !
Le Docteur s’empressa d’obéir et en profita pour regarder autour de lui. Il se trouvait dans une salle faiblement éclairée. Les quatre murs étaient recouverts de draperies qui n’étaient pas rappeler celles utilisées au royaume d’Espagne.
— Frère Gerónimo…, commença-t-il. Notre arrestation doit être une erreur… Je te demande de bien vouloir nous libérer, mon ami et moi… au nom de notre vieille complicité.
Le moine franciscain laissa exploser une colère retenue à la dernière phrase.
— Notre vieille complicité ?! Quelle complicité ? Je t’ai écouté, Fernando. Je me suis embarqué pour Hispaniola comme tu me l’avait conseillé. Mais notre navire a fait naufrage au sud de Santiago. Sur la centaine de marins que comptait notre navire, nous étions dix-sept à avoir survécu. Te rends-tu compte ?! Seules dix-sept âmes que Dieu a décidé de sauver ! invectiva-t-il hors de lui. Mais lorsque nous nous sommes échoués au Yucatán, nous avons été faits prisonniers par une tribu de sauvages.
La femme tressaillit à ces paroles. L’autre dut s’en apercevoir, car il continua sur un ton qui se voulait plus doux :
— Je ne parle pas des tiens, Malinalli, car tu es de sang noble. Mais comprends-tu… mes compagnons d’infortune ont été sacrifiés par ces Mayas au nom de leurs dieux païens.
Je suis Aztèque, pauvre imbécile !
Elle hocha néanmoins la tête. C’était la première fois qu’elle entendait le récit des mésaventures de son compagnon.
— Nous n’étions que deux à avoir été épargnés… Mon ami a choisi d’épouser leurs coutumes en prenant pour femme une des leurs, cracha-t-il avec dédain. Quand il a vu que je tenais à honorer mes vœux, leur chef m’a confié de son… sérail. Imagines-tu ?! Un diacre surveillant un harem ! Cela a été une humiliation ! Je ne dois mon salut qu’à Hernán Cortés. Et encore ! Ses hommes ne m’ont même pas reconnu, tellement je ressemblais à un Indien ! Moi, son grand ami !
Gerónimo s’interrompit. Il éructait.
Dios y Santa María de Sevilla. C’est ce que j’ai dû leur dire dans une langue que je n’avais pas parlé depuis huit ans… C’est de ta faute, m’entends-tu Fernando ? J’ai embarqué sur un navire qui a coulé, j’ai failli être exécuté par les Mayas et j’ai même été réduit en esclavage ! Cela aussi, dit-il en retroussant une manche de sa chemise, découvrant de nombreux tatouages, c’est de ta faute !
— Nous avons toujours le choix, Gerónimo… murmura Laguerra, éberlué face à cette réaction démesurée à laquelle il ne s’attendait pas. Tu cherchais à répandre la parole du Seigneur. Je t’ai parlé des nouvelles terres découvertes, mais jamais je ne t’ai obligé à quoi que ce soit…
Les yeux de l’Espagnol continuaient de lancer des éclairs. Il cherchait à en attribuer la responsabilité de ses malheurs à quelqu’un, et cette personne, c’était lui.
Il finit par lâcher à l’intention de Malinalli :
— Explique-lui la raison de sa présence.
Il s’adressa au Portugais :
— N’espère pas sortir d’ici. Pas avant huit ans.
Le mince espoir de Fernando de quitter ce lieu sombre, né quelques instants plus tôt, s’évapora. Sur ces derniers mots, le frère franciscain disparut derrière une porte qui se referma dans un bruit sourd.
— Asseyez-vous, Docteur, ordonna la femme, d’une voix douce cependant, en lui désignant un tabouret face à elle.
Le cœur encore gros, celui-ci prit place sur le siège. Il la détailla. C’était une Amérindienne assez jeune – dix-huit ans tout au plus – aux cheveux d’un noir de jais, qui n’était pas sans rappeler celle qu’il avait rêvée deux ans tôt, lorsque ses amis et lui cherchaient à percer les secrets de la pyramide bleue.
Il soupira à cette pensée. Il n’était pas près de la revoir, cette pyramide !
— Je vous écoute.
— Selon ma source, vous seul pouvez lire l’écriture d’un peuple disparu, celui de l’empire de Mu…
C’était donc cela ! Elle connaissait l’existence de ce continent.
— Possible.
— Je veux que vous m’aidiez.
— Jamais je ne vous dévoilerais ses secrets ! s’emporta Laguerra.
— Ses secrets ? Quels secrets ? fit-elle en fronçant les sourcils. Si quelque secret il y a, sachez que je m’en moque pas mal !
Le Portugais se mordit la lèvre inférieure. Quel idiot ! Il faisait vraiment un gardien pitoyable.
— Peu m’importe ces secrets, reprit Malinalli, l’œil toutefois soupçonneux, vous pourrez continuer à les chercher si cela vous chante, à la seule condition que j’obtienne ce que je veux.
— Puis-je me permettre d’énoncer moi-aussi une condition ?
— Dites toujours…
— J’ai bien compris que Frère Gerónimo n’a pas l’intention de me laisser partir. Mais mon compagnon qui a été arrêté avec moi, lui, se trouvait au mauvais endroit au mauvais moment. Il n’a rien fait. Je vous demande de le libérer…
L’Amérindienne le considéra un instant puis réfléchit. Elle n’avait pas le pouvoir de décider du sort du second prisonnier. Mais cet homme voulait à tout prix la vie sauve pour son ami. Or il lui fallait absolument sa coopération… Hormis Gerónimo et elle, qui savait leur arrestation ? Il serait toujours facile de se débarrasser des gardes gênants au moment opportun. Et Cortés se contrefichait des otages.
— Tout d’abord, je veux que vous sachiez que si Gerónimo de Aguilar pense avoir regagner sa liberté en rejoignant les Espagnols, il se trompe. Il reste à la merci d’Hernán Cortés comme un esclave… comme moi… Il n’a aucun pouvoir ici. Alors n’ayez pas à le craindre, il ne peut rien contre vous. Mon serviteur y veillera, déclara la jeune femme. Athanaos sera libre dès ce soir.
Fernando se raidit.
— Je ne vous ai jamais dit qu’il s’appelait Athanaos…
Elle siffla entre ses dents blanches comme l’aurait fait un serpent, à la fois malicieuse et dédaigneuse :
— Mais je sais tout de vous, Docteur Fernando de Lagurra… Je sais également que vous êtes souvent appelé Laguerra, que vous venez du royaume de Portugal, que vous avez une fille prénommée Isabella qui a des origines indiennes et chinoises… Dois-je continuer ?
L’alchimiste déglutit péniblement.
— Que voulez-vous ? demanda-t-il, livide.
— J’ai en ma possession un parchemin. Écrit dans une langue qui m’est inconnue, mais que vous pouvez déchiffrer.
— Qu’espérez-vous trouver ?
— Les Aztèques sont les dignes descendants de ce peuple honorable. Ils possèdent des biens innombrables, dont une partie a été offerte aux Espagnols à leur arrivée. Depuis, les conquistadors se servent dans les réserves du Nouveau Monde, comme ils appellent notre continent. Mais un jour viendra où nous ne trouverons plus de quoi satisfaire leur appétit. Et je sais qu’il existe encore d’autres richesses inconnues. C’est pourquoi mon maitre, Hernán Cortés, m’a chargée de les découvrir. Ce parchemin indique l’emplacement d’une cité d’or qui se trouve quelque part ici.
Le Docteur la scruta, sidéré. Une cité d’or ? Elle était tombée sur la tête !
— Et vous croyez vraiment à l’existence de cette… cité d’or ?
— Non je ne crois pas. J’en suis sûre. Vous m’aidez et je fais libérer votre ami.
— J’accepte, s’entendit murmurer Laguerra, après un instant d’hésitation.
Si seulement il n’y avait pas Athanaos !
— Merci Malinalli…
— Ne m’appelez jamais Malinalli ! cracha-t-elle, menaçante. Seul Gerónimo de Aguilar se permet de me désigner par mon nom de naissance car il se plait à me rappeler que je suis une princesse chontale de Paynala réduite en esclavage. Mais je suis à présent une femme catholique appréciée d’Hernán Cortés, et cela, il ne le supporte pas !
Elle rajouta :
— Pour vous comme pour d’autres, ce sera Marinché : mon nom de baptême, Marina, mêlée au surnom que le peuple me donne, la Malinche.

On lui assigna une chambre dans une des maisons de la ville en construction. Laguerra avait compris un nom : Villa Rica de la Vera Cruz. Mais à quoi bon connaitre le nom du lieu où il était détenu ? Car il le savait : il resterait prisonnier ici, pour le restant de ses jours, sans revoir ses compagnons, ni même sa fille. À cette pensée, son cœur se souleva. Il en était littéralement malade. Cela faisait à peine un mois et demi qu’ils s’étaient retrouvés, mais déjà le Destin les séparait de nouveau. Et définitivement.
Du haut de la pièce où il s’était entretenu avec la mystérieuse femme, il avait vu son ami fuir.
Au moins, il est libre…, pensa-t-il.
Lui, il serait gardé dans une prison dorée, aux barreaux invisibles, au beau milieu du désert aztèque.
Les mots de celle qui se faisait appeler la Malinche lui revinrent en mémoire :
— Vous serez libre de continuer vos recherches… Vous pourrez partir d’ici dès que vous aurez traduit le rouleau…
Même si elle avait prononcé ces mots d’une voix qui se voulait sûre, le Docteur en doutait. N’avait-elle pas reconnu n’avoir aucun pouvoir ?
Il devait avouer que cette femme au timbre à la fois doux et ferme l’intriguait fortement. Elle disait tout connaitre de lui et pourtant… Elle avait parlé d’Athanaos, d’Isabella, de Kamala…
La pensée qui venait de lui traverser l’esprit lui glaça le sang à un tel point qu’il tomba à genoux sur le sol froid de sa nouvelle cellule. Non. Elle n’avait pas parlé de Kamala, mais de Kalama. Or une seule personne était incapable de mémoriser ce prénom correctement. Et cette personne, Marinché ne l’avait jamais évoquée.
Ambrosius avait mis les voiles trop vite. Beaucoup trop vite. Cela ne pouvait pas être un hasard.
Pour la première fois depuis bien longtemps, Laguerra leva les yeux vers la mince fenêtre de sa chambre et se mit à prier.
— Athanaos, retrouve Isabella. Protège ma fille !
Modifié en dernier par Xia le 20 oct. 2021, 22:35, modifié 1 fois.
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Message par Atlanta »

Couo de foudre entre el doctor et marinché ? :Docteur: :-@ :Marinche:
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Re: A la recherche de l'Empire perdu

Message par Xia »

Atlanta a écrit : 20 oct. 2021, 15:57 Couo de foudre entre el doctor et marinché ? :Docteur: :-@ :Marinche:
Ah... peut-être... :x-):
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Re: A la recherche de l'Empire perdu

Message par Atlanta »

Xia a écrit : 20 oct. 2021, 16:23
Atlanta a écrit : 20 oct. 2021, 15:57 Couo de foudre entre el doctor et marinché ? :Docteur: :-@ :Marinche:
Ah... peut-être... :x-):
Ok, ça veux dire ui ! donc....
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Re: A la recherche de l'Empire perdu

Message par Atlanta »

Atlanta a écrit : 20 oct. 2021, 16:29
Xia a écrit : 20 oct. 2021, 16:23
Atlanta a écrit : 20 oct. 2021, 15:57 Couo de foudre entre el doctor et marinché ? :Docteur: :-@ :Marinche:
Ah... peut-être... :x-):
Ok, ça veux dire ui ! donc....
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C'était le 500 message d'atlanta (regard ému)
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Re: A la recherche de l'Empire perdu

Message par Xia »

Atlanta a écrit : 20 oct. 2021, 16:40
Atlanta a écrit : 20 oct. 2021, 16:29
Xia a écrit : 20 oct. 2021, 16:23

Ah... peut-être... :x-):
Ok, ça veux dire ui ! donc....
:Docteur: ❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤ :Marinche: :oops:
C'était le 500 message d'atlanta (regard ému)
:lol: :lol: :lol:
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Re: A la recherche de l'Empire perdu

Message par Atlanta »

Xia a écrit : 20 oct. 2021, 16:59 :lol: :lol: :lol:
Bienvenue au club des vénérables incas alors :tongue:
Merci vi... énérable chouette ! :x-):
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Re: A la recherche de l'Empire perdu

Message par Xia »

Atlanta a écrit : 20 oct. 2021, 17:27
Xia a écrit : 20 oct. 2021, 16:59 :lol: :lol: :lol:
Bienvenue au club des vénérables incas alors :tongue:
Merci vi... énérable chouette ! :x-):
Patou ! Pas chouette :P
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Re: A la recherche de l'Empire perdu

Message par Atlanta »

Xia a écrit : 20 oct. 2021, 17:29
Atlanta a écrit : 20 oct. 2021, 17:27
Xia a écrit : 20 oct. 2021, 16:59 :lol: :lol: :lol:
Bienvenue au club des vénérables incas alors :tongue:
Merci vi... énérable chouette ! :x-):
Patou ! Pas chouette :P
:tongue: :tongue: :tongue: :tongue: :tongue:
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