Re: FANFICTION COLLECTIVE : Tome 2
Posté : 01 févr. 2018, 19:00
Tiens, tiens, la jeune indienne qui s'inquiète plus pour le naacal (hin-hin) que pour Nacir. Ça veut tout dire, et Zia l'a encore une fois bien compris, contrairement à d'autre. 
Joli moment avec Esteban qui réconforte une Laguerra à fleur de peau. Sinon, je note les propos du jeune atlante : «[...] Tu cherches un coupable, mais dans cette affaire, les responsabilités sont partagées, et le hasard s’en est mêlé. Les pirates, à Lampedusa, Hava, à Benghazi… » → En effet, le hasard est le seul coupable, monsieur le juge !
Discussion très intéressante sur l'humanité et sur son incapacité à posséder d'immenses connaissances sans en tirer un quelconque bénéfice ; évidemment que le plus sage n'est pas celui qui en sait le plus. Ce d'Aubusson m'est de plus en plus sympathique.
Voilà un début de troisième partie bien calme, mais le temps peut se gâter si rapidement.
Et c'est moi ou le printemps est en avance !? Ça batifole pas mal du côté des jeunes, tant de bonheur et d’insouciance... Bah, qu'ils en profitent, car on ne sait jamais. Quand le destin met une Hava sur votre route, il est déjà trop tard.
Une petite excursion bien sympathique dans les profondeurs d'une grotte bien mystérieuse. Ce n'est pas dans mon bocal que je croiserai des baleines. D'ailleurs, question rhétorique du jour : Est-ce que Zia parle baleine ? ^^
Hum... Esteban rattrapé par son passé, il y a bien des choses auxquelles on ne peut se soustraire malheureusement. M'enfin comme le dit Akar', encore une énigme qui devra tôt ou tard se résoudre, car la malle aux artéfacts se remplie.
Quant au début de cette cinquième partie : mouarf ! Je n'ai pu m'empêcher de sourire bêtement avec une tête de dérangée du ciboulot en lisant le premier passage. Ah ce vil comédien de Gonzales, il embobine tout son monde.
En tout cas, il maîtrise incroyablement bien ses pulsions meurtrières.
Aïe Mendoza, ce n'est pas bon de ruminer ses pensées et se terrer dans le silence, toutefois j'imagine qu'il est bien trop tôt pour faire le point sur cette mésaventure à Anticythère. Il faut laisser du temps au temps comme dirait l'autre.
Mais laissons également le métis joué son rôle d'innocent ou plutôt de victime, (il est vraiment bon cet acteur, qui l'a engagé !?), il me tarde de savoir s'il fera un faux pas qui révélera ses véritables motivations, car même le plus doué des menteurs finit toujours par se trahir.
Je relève à nouveau une réflexion de Romegas, qui m'a bien fait sourire : «[...] si l’obstination est un péché, alors cet homme qui est devant vous mérite de finir en enfer, Dieu seul sera juge ! » → Ben oui, mais l'acte d'accusation sera légèrement différent de ce vous pouvez penser, mon cher Romegas !
Comme je n'ai pas la patience d'attendre la dernière partie, autant lire l'avant-dernière. ^^
Mendoza encore en train de cogiter... qu'est-ce que j'avais dit !
«Et avec le travail, peut-être l’oubli viendrait-il.» → Mouais, il faut oublier, tout peut s'oublier... Personnellement, je n'y crois pas trop (et pourtant petit poisson oublierait même qu'il a une tête).
Tao qui se méfie du loup afin qu'il ne rôde pas trop près de la bergerie, pas bête le naacal ! Surtout ne pas se laisser amadouer par les paroles de ce beau parleur et ses talents de chirurgien.
« Me feriez-vous la faveur de me le montrer de plus près ? [...] » → Ben, voyons !
Pour conclure, des récits toujours aussi appétissants pour mes petits yeux qui ne sont jamais assez repus ! Hâte de lire la (peut-être) fin des tourments de Mendoza et de ses compagnons. Seuls les auteurs nous le diront !
PS : Ce n'est pas un reproche, mais la Marie-Madeleine... Je ne m'y ferai décidément pas.
Joli moment avec Esteban qui réconforte une Laguerra à fleur de peau. Sinon, je note les propos du jeune atlante : «[...] Tu cherches un coupable, mais dans cette affaire, les responsabilités sont partagées, et le hasard s’en est mêlé. Les pirates, à Lampedusa, Hava, à Benghazi… » → En effet, le hasard est le seul coupable, monsieur le juge !
Discussion très intéressante sur l'humanité et sur son incapacité à posséder d'immenses connaissances sans en tirer un quelconque bénéfice ; évidemment que le plus sage n'est pas celui qui en sait le plus. Ce d'Aubusson m'est de plus en plus sympathique.
Voilà un début de troisième partie bien calme, mais le temps peut se gâter si rapidement.
Et c'est moi ou le printemps est en avance !? Ça batifole pas mal du côté des jeunes, tant de bonheur et d’insouciance... Bah, qu'ils en profitent, car on ne sait jamais. Quand le destin met une Hava sur votre route, il est déjà trop tard.
Une petite excursion bien sympathique dans les profondeurs d'une grotte bien mystérieuse. Ce n'est pas dans mon bocal que je croiserai des baleines. D'ailleurs, question rhétorique du jour : Est-ce que Zia parle baleine ? ^^
Hum... Esteban rattrapé par son passé, il y a bien des choses auxquelles on ne peut se soustraire malheureusement. M'enfin comme le dit Akar', encore une énigme qui devra tôt ou tard se résoudre, car la malle aux artéfacts se remplie.
Quant au début de cette cinquième partie : mouarf ! Je n'ai pu m'empêcher de sourire bêtement avec une tête de dérangée du ciboulot en lisant le premier passage. Ah ce vil comédien de Gonzales, il embobine tout son monde.
Aïe Mendoza, ce n'est pas bon de ruminer ses pensées et se terrer dans le silence, toutefois j'imagine qu'il est bien trop tôt pour faire le point sur cette mésaventure à Anticythère. Il faut laisser du temps au temps comme dirait l'autre.
Mais laissons également le métis joué son rôle d'innocent ou plutôt de victime, (il est vraiment bon cet acteur, qui l'a engagé !?), il me tarde de savoir s'il fera un faux pas qui révélera ses véritables motivations, car même le plus doué des menteurs finit toujours par se trahir.
Je relève à nouveau une réflexion de Romegas, qui m'a bien fait sourire : «[...] si l’obstination est un péché, alors cet homme qui est devant vous mérite de finir en enfer, Dieu seul sera juge ! » → Ben oui, mais l'acte d'accusation sera légèrement différent de ce vous pouvez penser, mon cher Romegas !
Comme je n'ai pas la patience d'attendre la dernière partie, autant lire l'avant-dernière. ^^
Mendoza encore en train de cogiter... qu'est-ce que j'avais dit !
Tao qui se méfie du loup afin qu'il ne rôde pas trop près de la bergerie, pas bête le naacal ! Surtout ne pas se laisser amadouer par les paroles de ce beau parleur et ses talents de chirurgien.
« Me feriez-vous la faveur de me le montrer de plus près ? [...] » → Ben, voyons !
Pour conclure, des récits toujours aussi appétissants pour mes petits yeux qui ne sont jamais assez repus ! Hâte de lire la (peut-être) fin des tourments de Mendoza et de ses compagnons. Seuls les auteurs nous le diront !
PS : Ce n'est pas un reproche, mais la Marie-Madeleine... Je ne m'y ferai décidément pas.