Les Mystérieuses Cités d'Or

Ce Alfonso a l'air très vilain ! J'attends de voir la suite !

''ne fait pas de promesse que tu ne pourrais pas tenir''...
OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOH MY GOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOD !
Mendozanc***

TEEGER59 a écrit : 01 nov. 2016, 18:06 C'est un bon début! D'emblée, on a le sentiment que tu as un don pour l'écriture...Peut être deviendras-tu scénariste ou écrivain! Qui sait?

De quoi remonter le moral et de quoi redonner espoir pour le lycée

Vive la suite Mais ce Alfonso est très inquiétant

Comme toujours cette suite est un régal pour mon imagination et il reste encore un nombre de questions en suspens.
Notre trio semble bien décidé à rencontrer Charles Quint, mais les recevra-t-il aussi "agréablement" que son fils ? Un Mendoza qui apparaîtrait un peu jaloux ? Aurait-il du soucis à se faire face à cet intrigant Gonzales ?

Les passages sans dialogues sont juste... Wouah ! J'aime l'idée de développer dans le même paragraphe à la fois le point de vue d'Isabella, puis Mendoza : leur ressenti face au mutisme de l'un et à l'indifférence feinte de l'autre. Pas mécontente d'avoir patiemment attendu cette suite, cependant on ne sait toujours pas ce qui les tourmentent tant, même si mes doutes commencent sérieusement à se confirmer : STOP, quel suspense !
Enfin, je ne parlerai pas de l'insolence d'Esteban, mais il n'a plus de respect pour les aînés ce gosse, non mais...

Que dire de plus, si ce n'est que j'adore et que j'ai hâte de voir ce que cette petite escale vers le nord donnera !

Juste pour info (en mode Scoop de Pichu) -> Le terme "vin rosé" est apparu dans la seconde moitié du XVIIème siècle et désigne un vin rouge de couleur très claire à cause de sa courte macération après le pressurage. Avant on le nommait "clairet", on retrouve ce nom aujourd'hui dans l'AOP Bordeaux-clairet et dans certains vins de Bourgogne.
D'accord maintenant, je fuis dans ma cave...

DeK a écrit : 02 févr. 2017, 10:32 Juste pour info (en mode Scoop de Pichu) -> Le terme "vin rosé" est apparu dans la seconde moitié du XVIIème siècle et désigne un vin rouge de couleur très claire à cause de sa courte macération après le pressurage. Avant on le nommait "clairet", on retrouve ce nom aujourd'hui dans l'AOP Bordeaux-clairet et dans certains vins de Bourgogne.
D'accord maintenant, je fuis dans ma cave...

Je m'en doutais! Mais bon, je trouvais qu'hésiter entre rouge et blanc, c'était pas suffisant (en plus au départ je parie que Sancho et Pedro ne font que du rouge )Donc j'ai pas vérifié cette info insignifiante
T'inquiète, fin du (faux) suspens bientôt, c'est vrai que je me suis amusée à éviter certains mots, en particulier quand Mendoza observe Isabella, ce n'était pas une mince affaire!
Je risque de jouer avec l'Histoire chez Charles Quint, je ferai de mon mieux..

nonoko a écrit : 02 févr. 2017, 12:06 [...] cette info insignifiante

Ah mais complètement d'accord. ^^ C'était juste une info pour étaler ma science...
Dans les faits, la production de "vin rosé", clairet donc, était majoritaire à l'époque (du moins en France jusqu'au XVIIIème siècle), aussi les vins dits "sombres" étaient plus spécifiques aux pays du pourtour méditerranéen, donc sûrement le produit phare de nos deux compères.
Enfin tout cela n'enlève rien à la qualité de ce passage, et j'ajouterai que sans un grand choix en alcool, la fête est moins folle !
Fin de cette parenthèse vinicole.

nonoko a écrit : 02 févr. 2017, 12:06T'inquiète, fin du (faux) suspens bientôt

Sérieux ? Pas de blague, hein, parce qu'à ce rythme mon petit cœur risque de ne pas tenir bien longtemps.

Faut juste qu'elle finisse d’améliorer ce qu'on a déjà écrit

DeK a écrit : 03 févr. 2017, 12:30

nonoko a écrit : 02 févr. 2017, 12:06 [...] cette info insignifiante

Ah mais complètement d'accord. ^^ C'était juste une info pour étaler ma science...
Dans les faits, la production de "vin rosé", clairet donc, était majoritaire à l'époque (du moins en France jusqu'au XVIIIème siècle), aussi les vins dits "sombres" étaient plus spécifiques aux pays du pourtour méditerranéen, donc sûrement le produit phare de nos deux compères.
Enfin tout cela n'enlève rien à la qualité de ce passage, et j'ajouterai que sans un grand choix en alcool, la fête est moins folle !
Fin de cette parenthèse vinicole.

Ils partent aux Pays Bas, et là c'est le pays de la bière.
C'est du sérieux, là.

Oui, mais la bière, j'y connais rien, je laisse ça aux spécialistes, je vais pas me risquer sur ce terrain mousseux et glissant..