fanfic mco4 :D

C'est ici que les artistes (en herbe ou confirmés) peuvent présenter leurs compositions personnelles : images, musiques, figurines, etc.
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TEEGER59
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Re: fanfic mco4 :D

Message par TEEGER59 »

Gna, gna, gna, gna! :tongue: :x-): ;)
:Laguerra: : AH! Comme on se retrouve!
:Mendoza: : Ma première leçon ne t'a pas SUFFIT?
:Laguerra: : Cette fois, tu ne t'en sortiras pas si FACILEMENT!
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yupanqui
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Re: fanfic mco4 :D

Message par yupanqui »

Tu es démasquée !!! :Pretre: :Athanaos:
« On sera jamais séparés » :Zia: :-@ :Esteban:
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zaza59
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Re: fanfic mco4 :D

Message par zaza59 »

Merci pour vos commentaires !! 😁
Promis je vais faire attention à mettre plus de détails TEEGER59 😊
La vie est courte alors profites en !!!:D
:Laguerra: :Mendoza:
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zaza59
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Re: fanfic mco4 :D

Message par zaza59 »

Chapitre 8 :

E- Mais il y en a deux ?
L- Oui, Mu et Atlantide possédaient chacun la sienne.
T- Vous vous rendez compte ! Il existe deux pyramides de Mu !
L- Celle-ci est la pyramide de Mu, l’autre est la pyramide d’Atlantide. Il n’y a aucune différence entre les deux mise à part que celle que tu possèdes déjà se trouvait sur le continent de l’Atlantide.
Z- Comment peut-on faire la différence entre l’Atlantide et Mu aujourd’hui ?
L- L’Europe et l’Asie faisaient partis de l’Atlantide alors que l’Amérique et l’Australie faisaient partis de Mu.
E- Bon en tout cas, on a les deux pyramides en notre possession et Ambrosius ne connait pas l’existence de cette seconde pyramide.
L- Oui est pourrait même lui faire une blague.

Le visage de Laguerra s’éclaira d’un sourire malicieux et ses yeux noirs pétillaient.

T- Une blague ?
L- Oui, il faudrait que l’on fac une copie de la pyramide et lui donner.
Z- Mais comment ?
L- Avant que vous ouvriez la cité, la pyramide était dans un moule, si on arrive à couler du verre dedans, on pourra recréer cette pyramide mais sans pouvoir.
M- Ce serait une bonne idée en effet, mais tu sais couler du verre ?
L- Moi non mais, je connais quelqu’un qui s’y connait très bien.

Elle se tourna vers Athanaos avec un grand sourire.

L- Tu ne pourrais pas nous aider parrain ?
E- Allez s’il te plaît papa !
Athanaos- Bien sûr que je vais vous aider. Isabella, emmènes les visiter le reste de la cité pendant que je vous prépare ça.

La jeune femme acquiesça d’un signe de tête et fit signe aux autres de venir avec elle.

T- Laguerra, comment avez-vous fait pour parvenir jusqu’ici sans vous faire repérer par Zarès ?
L- Disons que je les ai fait courir un peu jusqu’à disparaître sous leurs yeux.
E- Tu crois qu’ils arriveront jusqu’ici ?
L- C’est fort probable en effet mais ne vous inquiéter pas, nous serons déjà partis depuis longtemps et le piège sera en place.
Z- Mais, on a aucun indice sur où nous devons chercher la prochaine cité.
L- Oui c’est vrai, mais, je pense que nous trouverons plus de choses en visitant la cité.
M- Tu l’as déjà vu ?
L- Non, quand je suis arrivée, on a élaboré le plan avec Athanaos et étudier le plan pour voir où nous pourrions sortir si ça se passait mal.
M- Et conclusion ?
L- Heu…il n’y a qu’une seule sortie et c’est pour ça que nous devons trouver ce que l’on cherche très vite.
T- Vous avez le plan ?
L- Oui bien sûr.

Elle sortit de sa poche un parchemin tissé en orichalque et le tandis aux enfants.

Z- C’est comme les voiles de Rana’Ori ! Vous vous souvenez ?
E- Oui c’est vrai. Où voulais-tu en venir Tao avec ce plan ?
T- Et bien il doit y avoir des salles plus importantes que d’autre non ?
M- Tu as raison Tao, que suggères-tu ?
T- Je ne sais pas, peut-être la bibliothèque, elle juste à côté.
M- Non, tu tiens ton plan à l’envers, cette salle est à l’opposé de nous.

Un grand BOUM résonna dans la cité, Athanaos avait rejoint ses amis en courant.

Athanaos- Zarès doit déjà être arrivé, j’ai eu le temps de finir la pyramide mais il ne faut pas tarder.
L- La bibliothèque est proche de l’entrée, dépêchons nous ! Ça va aller Athanaos ?
Athanaos- Oui ne t’en fait pas, je suis presque guérit, juste le temps que mes brulures disparaissent.

Ils se mirent à courir en suivant Laguerra qui semblait connaître le chemin sur le bout des doigts. Elle s’arrêta soudain et fit signe de ne pas faire de bruit. Gaspard et Gomez étaient juste à côté, face à l’entrée.

L- Zarès doit savoir qu’il n’y a qu’une seule issue, il faut passer sans qu’ils alertent Ambrosius.
M- Par le toit, regarde là-haut. Les enfants, Athanaos et toi pourrez facilement partir dans a bibliothèque.
L- Et vous ?

Elle le regardait avec des yeux interrogateurs, elle ne savait ce à quoi pensait son compagnon mais savait qu’il avait un plan en béton.

M- Pendant que vous irez là-bas, avec Sancho et Pedro on va contourner le bâtiment jusqu’à arriver à côté d’eux, ils sont à moitié endormi donc ils ne nous verront pas venir.
L- Très bien, mais surtout soyez prudent !
M- Ne t’en fait pas, tout ira bien.

Ils se séparèrent et nos cinq amis grimpèrent jusqu’à atteindre le haut du bâtiment Esteban en tête. Arrivé devant la poutrelle qui allait à la bibliothèque Esteban s’arrêta. Sa vue devient flou et il se mit à suer.

L- Grimpe sur mon dos Esteban.

Le jeune garçon fit ce qu’il put pour ne pas regarder en bas pendant la traversée, manquant à plusieurs reprises de faire perdre l’équilibre à Laguerra qui n’avait guère l’air rassuré.

Athanaos- Ca va Laguerra, pas trop le vertige ?

Il avait dit ces mots sont un ton ironique qui fit comprendre aux enfants qu’elle aussi avait le vertige.

T- Ca doit être un truc de famille.
L- Allez, finit de plaisanter ! On y va !

Ils descendirent les escaliers quatre par quatre et se précipitèrent vers le fond de la bibliothèque où se trouvait des cartes. Une d’elle retint l’intention du Nacal.

T- Regardez celle-là, elle est bizarre.
E- Tu as raison, c’est quoi ces points-là ?
Athanaos- A en croire ce que dis la carte, ces points représenteraient les différentes cités. Ici le nouveau monde, là la Chine et le Japon, l’Arabie Saoudite ici et enfin le Groenland.

Les portes de la bibliothèque claquèrent tout à coup, quelqu’un était entré.

T- Bon on la prend avec les autres et on verra plus tard.

Laguerra et Athanaos ouvraient la marche avec l’épée dans la main pour la jeune femme et le pistolet pour Athanaos.

L- Planquez- vous ils arrivent !
T- Comment pouvez-vous savoir si ils sont plusieurs ?
L- Ecoute leurs pas, ils ne sont pas régulier.

Laguerra éteignit la lumière quand ils passèrent devant eux quand Athanaos se mit à crier :
-Arrêtez-vous nous sommes armés !!

Le groupe s’arrêta soudain et fit volte-face.

M- Ne tirez pas ! C’est nous.

La jeune femme les éclaira avec une lampe d’Ambrosius.

E- Vous nous avez fait peur, on a cru que c’était Zarès avec Gaspard et Gomez.
M- Tu crois vraiment que l’on n’aurait pas réussi à les mettre K.O ces deux-là? Venez, il ne faut pas trainer ici.

Ils se dirigèrent vers l’entrée quand ils entendirent de nouveaux pas derrière la porte. Ces pas lourds se stoppèrent et on entendit une voix grave jurer au dehors.

M- Zarès a dû découvrir que ses deux boulets étaient ligotés, cachons- nous prêt des portes pour qu’il ne nous découvre pas.

Le groupe exécuta les parole du capitaine et se mirent dans le fond de l’allée la plus proche de la porte.

T- Regardez là-bas, il y a une petite porte. (en chuchotant)
Athanaos- dépêchons-nous de l’atteindre avant qu’ils n’arrivent.

A peine arrivé à mi-chemin ils entendirent les battants de la porte s’ouvrir.

Za- Vous n’êtes qu’une bande d’incapable ! J’espère pour vous qu’ils n’ont pas pris la carte sinon vous savez ce qu’il va se passer !
G- Nous étions en infériorité, ils étaient trois tout de même.
Za- Peu m’importe Gaspard ! Vous auriez dû vous inspirer de Laguerra pendant qu’elle était encore avec nous !
G- Et pourquoi cela ?
Za- Parce qu’elle au moins elle savait se battre ! Si j’avais su je ne l’aurai jamais pris an Arabie avec moi !
Go- Je ne veux pas être envahissant dans votre discussion mais, pourquoi dîtes-vous cela ?
Za- Parce qu’à cause de Mendoza elle a changé de camps !
Go- En effet je vous comprends…

Pendant ce temps notre petite troupe avait atteint la porte quand une statuette attira l’œil du jeune nacal, c’était une statuette d’orichalque qui représentait la tête d’un tigre. Il la prit avec lui et rejoint ses compagnons.

E- Qu’est-ce que tu faisais encore Tao ? On a bien cru que tu t’étais fait repérer !
T- J’ai vu cette statuette et je me sis dis qu’elle n’était pas là pour faire jolie.
Athanaos- Fait la voir à Laguerra, elle connaît bien les tigres maintenant.
L- Ce n’est pas faux (en riant) Alors ça c’est un tigre de Sumatra, c’est une île en Malaisie.
1200px-Sumatra_Topography.png
T- Et donc il faudrait aller là-bas ?
L- Ca je n’en n’ai aucune idée mon grand. Mais je te propose qu’on y réfléchisse dehors.
Z- Oui Zarès pourrait arriver à n’importe quel moment.
T- Mais et pour la cité ?
Athanaos- Laguerra va la refermer.
L- Hein ? Mais je sais pas comment on fait moi !
Athanaos- Tu verras c’est très simple.
L- Bon et je dois aller où ?
Athanaos- Par où tu es arrivée. Les enfants viendront te chercher ne t’inquiète pas.
L- Alors à bientôt tout le monde.
E- Tu vas rester avec nous papa ?
Athanaos- Non, je vais repartir en Espagne pour finir de me soigner puis j’attendrais votre retour.
L- Tu vas nous manquer Athanaos. (en le serrant une dernière fois dans ses bras avant de disparaitre)

Aux portes de la cité Esteban se jeta dans les bras de son père avant qu’ils ne se séparent une nouvelle fois. La tristesse pouvait se lire sur leur visage respectif et une petite larme coula sur leurs joues. Laguerra était arrivé à l’entrée mais entendait des pas parcourir la cité.

L- Je dois faire vite (pensée)
Devant le passage elle trouva un mot d’Athanaos :
Tu as juste à retirer ta broche.
Bisous ton oncle …
L- Il pense vraiment à tout ! (pensée)

Elle prit en même temps le coffre qu’il y avait avec. Le bruit des pas était de plus en plus proche, elle retira sa broche et parti en laissant derrière elle la cité se refermer.
Pendant ce temps Zarès et ses deux acolytes étaient à la recherche du groupe quand ils sentirent le sol trembler sous leurs pieds.

G- Qu’est…qu’est-ce qui se passe ?
Za- Ils ont dû refermer la cité ! Partons d’ici au plus vite !

Ils coururent jusqu’à l’entrée qui était en train de se refermer. Zarès arrivant lancé à toute blinde cogna sa tête contre porte et tomba dans un grand vacarme sur le sol. Gaspard et Gomez arrivèrent de justesse à le relever avant que la porte ne sépare son corps en deux parties. Les enfants étaient de retour au condor et le firent décoller en direction de la forêt qu’ils avaient quittés quelques jours auparavant. Laguerra de son côté avait déjà rejoint la cascade et regarda le coffre qu’elle avait emporté. Il devait faire 50cm de large sur 40cm de haut, ses bords dorés portés les initiales M.L.Q et I.L.Q.

L- Non ça ne peut pas être les nôtres… (pensée) Je l’ouvrirais avec les autres dans le condor.
Trois jours se sont écoulés depuis le départ de la cité et nos héros atteignent enfin la forêt. Esteban posa le condor à la même place que la dernière fois puis il partit chercher Laguerra seul pendant que les autres étudiaient les cartes.

M- Esteban ! Tu sais que je ne veux pas te laisser tout seul trop longtemps alors reste prudent.
E- Ne t’inquiètes pas, et puis je ne crains pas grand-chose avec Isabella.
M- Je sais mais sois tout de même prudent.

Le jeune garçon acquiesça et partit en direction de la cascade. Laguerra fut surprise de voir le jeune garçon arriver seule mais elle se doutait bien que Mendoza n’étais pas loin. Elle n’avait pas tort puisque le capitaine était derrière un fourré non-loin de là et vit la nef se poser au bout de la forêt.
La vie est courte alors profites en !!!:D
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Message par TEEGER59 »

zaza59 a écrit : 22 févr. 2019, 18:23 :Athanaos: : Ça va Laguerra, pas trop le vertige ?

Il avait dit ces mots sont un ton ironique qui fit comprendre aux enfants qu’elle aussi avait le vertige.

:Tao: : Ça doit être un truc de famille.
:Laguerra: : Allez, finit de plaisanter ! On y va !
:x-): :x-): :x-):
73.PNG

Les gens qui ont le vertige se balancent spontanément dans le vide! C'est bien connu!
Sinon, c'est beaucoup mieux!
:Laguerra: : AH! Comme on se retrouve!
:Mendoza: : Ma première leçon ne t'a pas SUFFIT?
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Message par zaza59 »

Et oui elle cache bien son jeux n'est ce pas 😂😂
Merci en tout cas ! 😁
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:Laguerra: :Mendoza:
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Message par zaza59 »

Voilà une petite suite après un certains moment d'absence.
Chapitre 9 :

Mendoza avait suivi la Nef des yeux jusqu’à ce qu’elle se pose à une vingtaine de mètre de l’endroit où il se trouvait. Les trois antagonistes sortirent alors de la nef et marchèrent dans sa direction.
M- Pourquoi Ambrosius n’a-t-il pas revêtu son exosquelette ? (Pensée)
Ils passèrent devant le fourré dans lequel il était caché mais ne le virent pas et continuèrent leur route en direction de la cascade.
M- Pourvu qu’Isabella et Esteban soit partis ! (pensée)
Il se rapprocha et entendit la voix d’Ambrosius.
Am- Laguerra ne doit pas être arrivée. Nous allons bivouaquer ici et surveiller la cascade jour et nuit !
Go- Mais si elle était déjà arrivé ?
Am- Non, ça ne peut pas être possible. Normalement, elle devrait arriver aujourd’hui !
Go- Bien messire Ambrosius.
Mendoza fit demi-tour le plus discrètement possible et repartit en direction du condor.
Pendant ce temps-là, un peu plus loin dans la forêt, Esteban et Laguerra marchaient tranquillement en direction du condor également.
E- Il y a quoi dans ce coffre Isabella ?
C’était la première fois qu’Estéban appelait la jeune femme par son prénom, chose qui n’échappa pas à celle-ci qui s’empressa de sourire au jeune garçon.
L- Je ne sais pas Esteban, je voulais l’ouvrir avec vous au condor.
Ils entendirent soudain un bruit de pas venir de derrière eux. Laguerra entraîna son cousin dans un buisson à bordure du chemin et lui fit signe de se taire. Son épée était déjà sortie de son fourreau, elle la rangea tout de suite en voyant à qui appartenaient ces bruits de pas.
E- Mendoza ?
M- Ah enfin je vous ai rejoint.
L- Que ce passe-t-il ?
M- Ambrosius est là, il est devant la cascade et il est déterminé à te reprendre avec lui, mais je vous expliquerez plus tard, retournons au condor.
E- Tu ne devais pas rester au condor ?
M- Tu sais bien que je n’aime pas te laisser tout seul.
E- Pffff
L- Comprend-le Esteban, il ne veut pas que quelqu’un te fasse du mal. J’aurais fait pareil à sa place.
E- Mais je suis grand maintenant !
L- Pas pour nous, tu seras toujours l’Esteban que l’on a connu petit.
Esteban leva les yeux au ciel et avança. Mendoza et Laguerra se regardèrent et échangèrent un petit rire.
E- Bon vous venez !?
M- On arrive mon garçon mais passe devant. Il faut qu’on parle.
Il dit ces mots tout en regardant sa compagne qui comprit qu’il avait découvert des éléments flous de la vie de la jeune femme.
L- Qu’est-ce qu’il se passe Juan ?
M- Je ne veux plus que tu sortes sans moi ou quelqu’un capable de te protéger et j’aimerais avoir plus d’information sur ce que tu sais de ta mère.
L- Tu as entendu Ambrosius parler de ma mère et de ses pouvoirs c’est ça ?
M- Oui et j’ai peur pour toi, si il t’arrivait malheur je ne me le pardonnerais jamais.
L- Je sais Juan, je sais…
E- Bon vous venez !
L- On arrive Esteban.
M- Tu vas en parler aux enfants ?
L- Oui enfin je pense, j’ai peur de leur dire…
M- C’est quoi cette histoire de pouvoir ? Et, en quoi cela intéresse-t-il Ambrosius ?
L- Tu vois Zia, elle peut contrôler les objets et les gens par la pensée ?
M- Oui et ?
L- Et bien moi je peux faire apparaitre des défunts ou d’anciens souvenirs par la pensée.
M- Mais en quoi cela intéresse-t-il tant Ambrosius ?
L- Parce que si je dévoile certains souvenirs à mon père, il perdra son soutien et sa place en Espagne, et puis quand il atteindra la plus haute puissance, il m’obligera à faire resurgir des figures du passé qu’il rendra de nouveau vivantes et constituera une armée surpuissante.
M- Tout s’explique en effet mais comment pourrait-il faire revenir à la vie des défunts ? C’est impossible !
L- Malheureusement si, ce savoir et caché dans la dernière cité. Si nous n’entrons pas avant lui ou si nous ne le stoppons pas, il réunira les sept pierres d’orichalques et récupérera cette arme surpuissante.
M- Alors partons au plus vite, nous n’avons pas de temps à perdre !
Ils rejoignirent Esteban qui les attendait et repartir au condor. Pendant ce temps, à la grotte.
G- Où irons-nous ensuite messire ?
Am- Je ne sais pas Gaspard, c’est une raison de plus pour laquelle nous attendons Laguerra.
Go- En plus avec cette zone déboisée, il nous sera facile de voir le condor arriver pour la récupérer.
Am- Exactement ! Le condor a beau être très rapide, il ne peut pas voler de nuit.
Go- Alors attendons…
Au condor, nos trois espagnols avaient rejoint les autres.
T- Il y a quoi dans ton coffre ?
L- Je ne sais pas, j’attendais d’être avec vous pour l’ouvrir. Et vous du nouveau avec les cartes ?
Z- Selon nous, il faudrait bien se rendre à Sumatra. La plupart des cartes ne parlent que de cette île.
S/P- Oui le reste c’est des cartes d’Espagne et des arbres généalogiques de la famille royal mais certains nom sont effacés, dont le tien car il n’y a pas ton nom.
L- C’est normal, il aurait été très mal vu que le roi ait eu une aventure avec une paysanne corse et pire, une fille avec elle.
E- Bon, passons à ton coffre maintenant.
Elle posa ses mains sur le coffre et appuya sur un des sept reliefs de celui-ci. La serrure sauta instantanément. Elle releva le couvercle et pencha lentement sa tête vers le contenu du mystérieux coffre. Un papier était posé dessus, elle le prit et le lu à voix haute :
Ma belle Isabella,
Je ne sais pas si je serais encore de ce monde quand tu ouvriras ce coffre mais au moins je serais que tu as pris la quête en main. Une chose est sûre, je suis et je serais toujours fière de toi ! Tu trouveras dans ce coffre tous ce dont tu as besoins pour concrétiser ta quête et tes pouvoirs. Fais en bonne usage et associe toi aux bonnes personnes, à celle que t’as dictée ton cœur …
A bientôt et n’oublie pas que nous serons toujours là pour toi !
Maman...
Laguerra avait les larmes aux yeux après avoir lu cette lettre. Esteban lui pris la main et la serra tout en posant son regard sur les yeux de sa cousine.
M- Ca va aller ?
La voix de Mendoza était douce et rassurante. La jaune femme le regarda et lui fit signe de la tête.
L- Bon, continuons…
Elle sortit une petite boîte en bois, dans celle-ci, plusieurs petites fioles de différents produits chimiques avec à chaque fois, la composition et les différentes combinaisons de chaque mélange. Viens ensuite une splendide bague en orichalque ornée d’une pierre bleue azure. Vinrent ensuite une succession de vêtements ; des robes, des corsets, des jupes, des chemises et des pantalons à n’en plus finir. Elle sortit ensuite du fond du coffre un coffret avec à l’intérieur, un médaillon avec graver les mêmes initiales que sur le coffre avec le symbole des médaillons du soleil. Pour finir, elle sortit une série d’armes toutes plus belles et plus puissantes les unes que les autres.
Z- On dirait que votre mère avait la même passion pour les armes que vous señorita.
L- C’est vrai, ça doit être un truc de famille.
Elle dit ses paroles avec un léger rire. Ses larmes étaient parties et la jeune femme avait retrouvé son sourire.
T- C’est quoi cette histoire de pouvoir ?
L- C’est un peu compliqué, tu vois Zia peut contrôler les objets et les gens par la pensée, Esteban peut appeler le soleil. Eh bien moi j’ai le pouvoir de faire revenir les défunts, pas de les faire revenir mais de les faire apparaître. Je peux également faire resurgir des souvenirs du passé.
E- Waouh !!!! Mais pourquoi ne pas nous l’avoir dit avant ?
L- Parce que je tiens à ce que ces pouvoirs restent loin des oreilles furtives qui pourraient entendre et répéter ceci à qui que ce soit.
M- Ambrosius connait l’existence de tes pouvoirs, il faudrait que tu joues la comédie devant lui, que tu fasses semblant de ne pas savoir te servir de ceci.
L- Ca aurait pu marcher mais Ambrosius m’a déjà vu les utiliser. Fernando m’apprenait à les contrôler.
T- Comment ça se contrôle ?
L- Avec les émotions, il faut que je sois focalisée sur l’émotion que je veux installer entre la personne et moi. Chacune de mes émotions fait référence à une personne de ma vie.
Z- Tu pourrais nous faire voir ?
L- Pourquoi pas, ce sera l’occasion de revoir ma mère et de vous la présenter.
Elle ferma les yeux, se concentra et une fumée rouge se forma autours d’elle jusqu’à ce qu’une forment se dessine debout à côté d’elle.
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Message par TEEGER59 »

zaza59 a écrit : 31 mai 2019, 19:32 Mendoza avait suivi la Nef des yeux jusqu’à ce qu’elle se pose à une vingtaine de mètres de l’endroit où il se trouvait.
Go- Mais si elle était déjà arrivée ?
L- Que se passe-t-il ?
M- Ambrosius est là, il est devant la cascade et il est déterminé à te reprendre avec lui, mais je vous expliquerai plus tard, retournons au condor.
M- Je ne veux plus que tu sortes sans moi ou alors, avec quelqu’un capable de te protéger et j’aimerais avoir plus d’information sur ce que tu sais de ta mère.
M- Oui et j’ai peur pour toi, s'il t’arrivait malheur je ne me le pardonnerais jamais.
L- Et bien moi je peux faire apparaître des défunts ou d’anciens souvenirs par la pensée.
S/P- Oui le reste c’est des cartes d’Espagne et des arbres généalogiques de la famille royale mais certains nom sont effacés, dont le tien car il n’y a pas ton nom.
Je ne sais pas si je serai pas de "s" encore de ce monde quand tu ouvriras ce coffre mais au moins je saurai que tu as pris la quête en main. Une chose est sûre, je suis et je serai toujours pas de "s" toujours fière de toi ! Tu trouveras dans ce coffre tout ce dont tu as besoin pas de "s" pour concrétiser ta quête et tes pouvoirs. Fais en bonne usage et associe-toi aux bonnes personnes, à celles que t’a pas de "s" dicté pas de "e" ton cœur …
À bientôt et n’oublie pas que nous serons toujours là pour toi !
Maman...
La voix de Mendoza était douce et rassurante. La jeune femme le regarda et lui fit signe de la tête.
Elle sortit une petite boîte en bois, dans celle-ci, plusieurs petites fioles de différents produits chimiques avec à chaque fois, la composition et les différentes combinaisons de chaque mélange. Viens ensuite une splendide bague en orichalque ornée d’une pierre bleue azur pas de "e". Vinrent ensuite une succession de vêtements ; des robes, des corsets, des jupes, des chemises et des pantalons à n’en plus finir. Elle sortit ensuite du fond du coffre un coffret avec à l’intérieur, un médaillon avec gravées, les mêmes initiales que sur le coffre avec le symbole des médaillons du soleil.
M- Ambrosius connaît l’existence de tes pouvoirs, il faudrait que tu joues la comédie devant lui, que tu fasses semblant de ne pas savoir te servir de ceci.
L- Ça aurait pu marcher mais Ambrosius m’a déjà vu les utiliser.
L- Pourquoi pas, ce sera l’occasion de revoir ma mère et de vous la présenter.
Elle ferma les yeux, se concentra et une fumée rouge se forma autour pas de "s" d’elle jusqu’à ce qu’une forme se dessine debout à côté d’elle.
À part ces quelques fautes d'orthographe, c'est palpitant!
Laguerra qui a aussi un pouvoir :-@ :-@ :-@
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Message par zaza59 »

@TEEGER59 ah oui oupss! :oops: :x-):
Et oui elle aussi a des pouvoirs, et on verra qu'ils serront bien utiles eux aussi... ;)
La vie est courte alors profites en !!!:D
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Message par zaza59 »

Chapitre 10

La fumée s’éparpilla petit à petit dans le cockpit du condor, une fois celle-ci disparut totalement, une femme était assise à côté de Laguerra.
T- Co…comment est-ce possible ?
Z- On dirait une…une copie de vous.
Laguerra échangea avec l’autre femme et eurent un petit rire.
L- Et bien je vous présente Maria, ma mère.
Tous restaient les yeux écarquillés devant ce spectacle incompréhensible, Mendoza se repris soudain.
M- Enchanté señora, je suis Juan-Carlos Mendoza et voici Esteban, Zia, Tao, Sancho et Pedro. Ah et voici Pichu.
Maria- Ravie de vous rencontrer également capitaine. Esteban comme tu ressembles à ton père ! C’est flagrant tu ne trouves pas Isabella ?
L- Oui en grandissant il retrouve les mêmes traits qu’Athanaos.
T- Comment se fait-il que Laguerra puisse faire ça ?
Maria- Oh ça c’est un héritage de tes ancêtres Tao, comme Esteban qui commande au soleil ou Zia et ses pouvoirs psychique.
T- Mes ancêtres étaient vraiment géniaux! Et à quoi servent-ils encore ?
Maria- Quand Laguerra nous fait réapparaître, nous sommes comme des fantômes sauf que nous pouvons vous toucher et ressentir des émotions. Si vous vous faites attaquer, il suffit que Laguerra fasse apparaître des soldats qu’elle a connus pour qu’ils viennent se joindre au combat.
E- Mais pourquoi ne pas l’avoir utilisé pour se défendre contre Zarès ?
Maria- Tout simplement parce que sans le médaillon cette exercice demande une énergie considérable et que vous l’auriez retrouvé évanouie. Faire apparaître des défunts n’est pas un exercice facile.
L- C’est vrai, d’autant plus que je ne maîtrise pas encore mes pouvoirs à la perfection.
Maria- Quand tu rentreras en Espagne, je veux que tu mettes toute ton énergie dans tes souvenirs pour monter à ton père le vrai visage de son soi-disant bras droit alors que celui-ci n’est qu’un idiot fini.
L- C’est promis !
Maria- Au fait, Fernando et moi-même, nous avons un petit message pour Mendoza et toi.
L- Je m’en doute. Je me doute aussi que Fernando à comme moi revu sa copie sur Mendoza, les enfants, Sancho et Pedro.
Maria- Exactement ! Tu connais bien ton père toi ! Alors du coup notre message était, soyez heureux tous les deux et surtout Mendoza prenez bien soin d’Isabella ! Elle parait dur mais elle est quand fragile.
M- Ne vous inquiétez pas je prendrai bien soin d’elle.
Maria- Et bien écoutez sur ses mots je n’ai plus qu’à vous dire au revoir et j’espère à bientôt. Tu passeras le bonjour de ma part à Athanaos Esteban et puis dépêchez-vous de trouver les cités avant que Zarès ne s’en empare.
E- Oui, nous partons demain pour Sumatra.
Maria- Très bien les enfants, très très bien même !
Sur ces mots une fumée rouge réapparue et la silhouette de Maria disparu progressivement. Ils restèrent d’abord tous silencieux encore ébahit pas ce qu’il venait de se passer quand Laguerra s’écroula soudainement. Mendoza se jeta immédiatement au sol pour récupérer la jeune femme à moitié évanouie dans ses bras. Son visage était blanc et ses yeux s’efforçaient de rester ouverts.
M- Isabella ! Ça va ? Qu’est-ce qu’il se passe ?
L- Ca…ça va aller ne t’inquiète pas. Il faut juste que j’arrive à maîtriser mes pouvoirs et ça ira mieux.
E- Mendoza regarde !
Gaspard et Gomez étaient montés sur le bec du condor et avaient assisté à toute la scène.
M-Esteban ! Ouvre le cockpit ! Je vais leur régler leur compte à ces deux-là ! Et cette fois pour de bon !
L- Non Juan ! C’est un piège !
M- Comment ?
E- Comment peux-tu en être sûre ?
L- Parce qu’avant c’est moi qui était à leur place, Zarès est tapi dans l’ombre là-bas et il n’attend qu’une chose, que tu sortes.
M- Eh bien il ne va pas être dessus du voyage celui-là ! Tao, tu serais capable de nous faire une petite bombe ?
T-Oui bien sûr mais pourquoi ?
M- Pour les faire partir, dépêche-toi. Ne fais pas quelque chose de mortel mais de très bruyant.
T- A vos ordres mon capitaine !
Le jeune garçon parti dans la seconde partie du condor et revint quelques minutes plupart, une fiole à la main.
T- Tiens.
M- Parfait ! Esteban ouvre le cockpit à mon signal.
E- D’accord !
M- Laguerra tu ne sais pas comment ils pourraient reculer ?
L- Zia c’est à toi de jouer. Concentre-toi et faire les reculer d’un bon mètre.
Z- Je… je vais essayer mais je ne sais si mon pouvoir marche avec les humains.
L- Non attend, ne le fait pas je n’ai pas envie de te voir tomber dans le paume pour au moins quatre bonnes heures. Tu t’y entraineras plus tard.
Laguerra remis son médaillon et se concentra profondément, une fumée bleu entoura soudain Gaspard et Gomez qui reculèrent immédiatement.
M- Maintenant !
Esteban ouvrit la verrière et Mendoza jeta la fiole au-dessus des deux acolytes d’Ambrosius qui tombèrent à la renverse. La fumée bleu les suivis jusqu’à leur chute puis un jeune homme du même âge que Laguerra apparût.
G- Qui…qui êtes-vous ?
?- Je suis Antoine, ancien compagnon de Laguerra et malheureusement tué par Zarès.
G- Qu…quoi mais vous ne pouvez pas être mort !
Antoine- Eh bien si. C’est elle qui m’a fait apparaître qui va vous emmener avec moi si vous vous mettais encore sur son chemin ! Pigé ?
G- Oui oui oui.
Les deux hommes partirent en courant dans la direction de leur campement quand Zarès sorti de l’ombre pensant tomber sur Mendoza. En s’apercevant de la supercherie Zarès se stoppa net.
Za- Que fais-tu ici ! Je pensai t’avoir tué et banni des pensées de Laguerra !
Antoine- Et bien non je suis toujours là et cette fois ci c’est moi qui vais t’emmener dans le monde des morts !
Antoine sorti son épée de son fourreau et le duel débuta entre les deux hommes. Dans la nuit claire et calme, les bruits aigus des épées s’entrechoquant résonnaient dans l’épaisse forêt. Nos protagonistes observaient la scène depuis le condor quand Laguerra se mit à crier.
M- Isa ! Qu’est-ce qu’il se passe ?
L- Je…je ressens les coups qu’il se prend. Il faut que j’arrête le combat.
P- Regardez le soleil se lève !
E- Alors on décolle !
Z- Essayez de vite le faire disparaître Laguerra.
La jeune femme se concentra intensément et la fumée bleue revint dans le condor et avant de partir, Antoine mit sa main où la jeune femme avait mal et l’embrassa sur le front avant de disparaître. Esteban fit décoller le condor au même moment, laissant Zarès dans l’incompréhension puis la surprise la plus total. Il courut rejoindre Gaspard et Gomez à la nef puis la fit décoller.
Go- Où allons-nous maintenant ?
Za- Je ne sais pas mais une chose est sure, si ils ont décollés ce n’est pas par hasard, ils ont une piste ou Athanaos ou Laguerra savent quelques choses. Nous n’avons plus qu’à les suivre et les tuer aux portes de la cité en récupérant le double médaillon.
Go- Alors attendons pour qu’il ne remarque pas qu’on les suit.
G- Pourquoi cet homme est-il apparût et comment peut-il nous toucher alors qu’il est un fantôme ?
Za- C’est la spécificité des pouvoirs de Laguerra. Il n’y a qu’elle qui puisse faire une telle chose. Maintenant ses pouvoirs ne sont pas encore à leur maximum, il faut donc en profiter pendant qu’elle apprend à les contrôler.
Go- Et personne ne pourrait récupérer ces pouvoirs ?
Za- Sa fille ainée les récupèrera quand elle trouvera que c’est le bon moment.
G- Quel rapport cela a-t-il avec les cités d’or ?
Za- Le rapport est que si elle récupère le pouvoir du peuple Mu avant nous, elle nous privera de notre domination sur le monde ! Plus de roi ! Plus de richesses et de pouvoirs absolus !
Go- Et comment pouvons-nous l’arrêter ?
Za- Tout d’abord en brisant son médaillon puis en la tuant. Mais attention ! Si jamais Laguerra tombe enceinte et accouche d’une petite fille, il faudra les tuer toutes les deux ! Chose que j’ai raté il y 25 ans.
La vie est courte alors profites en !!!:D
:Laguerra: :Mendoza:
Tout seul tu vas plus vite, avec lui tu vas plus loin

YouTube : Elisa Vanryssel
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