Les Mystérieuses Cités d'Or

Après la scène de mort, c'est le tour de la scène de destruction ! Ma première constatation est qu'il est cent fois plus facile de compter ce qui est resté debout que ce qui est tombé. Heureusement que nos héros préférés n'ont pas parcouru toute la planète, sinon il ne resterait plus rien.

J'ai voté celle de Solaris ! C'est la première destruction de la série que j'ai vue et autant dire qu'elle m'a considérablement marqué ! En voyant ce navire utiliser son rayon, j'avais trop l'impression que nos héros étaient invincibles, mais j'avais tord... En tout cas, je ne pensais vraiment pas que l'épisode se finirait ainsi...

bon ben moi aussi g mis le solaris, bien que j'aie hésité avec la fin (la destruction de la cité d'or). mais bon j'aimais bcp le Solaris, en plus on croit entre 2 épisodes (si ma mémoire est bonne) que Zia et Tao sont morts, le doute a été horrible, heureusement que les constructeurs de l'engin avaient tout prévu, ouf les voilà sauvés!

Moi j'ai voté le dernier : "L'engloutissement de la base des Olmèques et de la cité d'or" Qui pour moi est le plus spectaculaire.

Mais ils sont obliger de mettre des musiques épique lors des scène de destruction ? (Si c'est triste ;-;)

Grégory House a écrit : ↑26 avr. 2012, 19:17 Moi j'ai voté le dernier : "L'engloutissement de la base des Olmèques et de la cité d'or" Qui pour moi est le plus spectaculaire.

Moi aussi mais j'adore aussi l'explosion du Solaris.

J’aime pas les destructions.

Non mais la destruction du Solaris est émouvante et la destruction de la base des Olmèques tu te dis : bien fait pour eux !

Oui. Dans ce sens, je suis d’accord avec toi.

Moi, ce qui m'a le plus marqué, c'est le naufrage de l'Esperanza.
Comme on doit se sentir tout petit face aux éléments quand ton bateau disparaît.
Tu te retrouves isolé en pleine mer, perdu, et devient de la nourriture potentielle pour ce qui vit là-dessous. BRRR !!!

C'était le début en effet. Ca m'avait aussi marqué surtout que je croyais qu'après avoir passé les grosses vagues il n'allait pas couler.