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Re: Fanfic saison 4 faite maison

Posté : 30 oct. 2020, 20:45
par ziaguerra
yupanqui a écrit : 30 oct. 2020, 19:47 Toujours aussi passionnant. Merci et bravo.
Une bonne intrigue, de l’humour, du suspense, des rebondissements... et de l’amour.
Merciiii ! Contente que ça te plaise toujours autant yupanqui.
Et oui, l’amouuuuuuur !
TEEGER59 a écrit : 30 oct. 2020, 20:21 Je dirais même plus:
De l'AM :Pichu: :Pichu: :Pichu: UR !!!
Yep, l’amour, mais l’autre amour. Celui parent-enfant. Faut changer parfois ! :x-):
Oh et tiens TEEGER, ça fait un bail que t’as pas commenté.
Ma fic ne te plaît plus trop ? Ou c’est juste que t’as la flemme ? xD

Re: Fanfic saison 4 faite maison

Posté : 30 oct. 2020, 23:47
par TEEGER59
C'est juste que je n'ai pas encore lu la suite.

Re: Fanfic saison 4 faite maison

Posté : 31 oct. 2020, 10:39
par ziaguerra
Oki. 🙃

Re: Fanfic saison 4 faite maison

Posté : 05 janv. 2021, 11:29
par Este
Vivement la suite !! La feras-tu ??

Re: Fanfic saison 4 faite maison

Posté : 05 janv. 2021, 11:31
par ziaguerra
Pense pas non. ;)

Re: Fanfic saison 4 faite maison

Posté : 05 janv. 2021, 11:53
par Este
Dommage !! En tout cas je l'ai adoré !!

Re: Fanfic saison 4 faite maison

Posté : 05 janv. 2021, 13:38
par ziaguerra
Super, merci beaucoup :)

Re: Fanfic saison 4 faite maison

Posté : 05 janv. 2021, 15:55
par Este
De rien !!

Re: Fanfic saison 4 faite maison

Posté : 29 janv. 2021, 23:09
par ziaguerra
Chapitre 11: Lalibela

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Précédemment...

:Esteban:: Ça alors ! Regardez !
:Mendoza:: Ce point se situe à Lalibela. Regardez, il y est indiqué.
:Tao:: Vous croyez que ça pourrait être l'emplacement de la cité d'or ?
:Esteban:: Aucune idée. Mais une chose est sûre; nous devons nous rendre là-bas. Ce n'est pas par hasard que la carte nous l'a montré.
:Zia:: Mais il nous reste aussi à élucider l'énigme du socle.
Tao fit un coup de coude amical à Esteban.
:Tao:: Tu vois, on t'avait dit qu'on trouverait une solution.
Esteban lui sourit en retour.
:Mendoza:: Nous partirons demain à l'aube. La nuit tombe ici. Mieux vaut passer la nuit au palais.
:Pedro:: T'entends ça Sancho ? On va pouvoir enfin manger !
Tao en bailla en s'étirant.
:Tao:: Oui, cette journée m'a épuisé !
:Mendoza:: Alors, en route !



Quelques kilomètres plus loin, le bateau volant se gonfla promptement. Les cliquetis du luminarion annoncèrent l'enclenchement de la chaudière. Les réacteurs se mirent en marche, laissant échapper leur habituelle nuée blanchâtre. La Nef décolla et se dirigea alors vers un endroit encore inconnu pour Gaspard. Contrairement à lui, Ambrosius se réjouit soudainement. L'idée de lui faire son rapport le mettait d'une humeur folle. Et bien sûr, savoir comment se portaient ses recherches également.








~~~~~








Le lendemain à l'aube, le petit groupe se dirigea vers l'oiseau doré. Esteban le fit déployer ses ailes et décoller, tel un pilote hors norme comme à son habitude.
Nos héros survolèrent alors l'Inde, puis arrivèrent seulement sur la cote est de l'Afrique deux jours plus tard. Et plus précisément, en Ethiopie, à Lalibela. Ils descendirent à la hâte, heureux d'enfin pouvoir se dégourdir les jambes.
:Tao:: Alors c'est ça, Lalibela ? Sympa comme endroit !
:Pedro:: Espérons qu'ils ont de la bonne mangaille.
Mendoza leva les yeux au ciel. Son regard retomba sur Laguerra qui s'était rapprochée du ravin pour mieux percevoir le petit village.
:Laguerra:: Ça reste dangereux tout de même. Attention de ne pas gli...
Trop tard, les enfants dévalaient déjà la pente. Mendoza et Laguerra se retournèrent brusquement avant de se lancer à leur tour. Esteban, Zia et Tao riaient sans se douter que les deux espagnols se trouvaient derrière eux. Et ce que craignaient Mendoza et Laguerra arriva. Esteban aperçut malheureusement trop tard le gros rocher qui lui faisait face et appela Mendoza en guise de dernier secours. Celui-ci le prit par la chemise au dernier moment pour le dérouter de l'énorme cailloux. Le marin lança un regard tranchant à Esteban qui comprit bien vite le message. Alors que ses compagnons étaient soulagés de le voir toujours sur piste, ce fût au tour de Tao de payer le prix de leur bêtise. Le jeune nacaal remarqua soudain qu'un trou se dessinait seulement quelques mètres plus loin et que toute chance d'en réchapper était vaine. Tout le monde appréhendait le moment fatidique sans pouvoir l'empêcher. Tao entendit son père de coeur ainsi que ses deux meilleurs amis crier son nom, sans doute pour la dernière fois se dit-il. Il ferma les yeux en se repassant en tête tous les moments les plus merveilleux de sa vie, et attendit. Mais alors que les battements de son coeur résonnaient dans ses oreilles, Tao sentit une main faire pression sur son ventre puis sa course s'interrompre brusquement. Il rouvrit progressivement les paupières, regarda autour de lui et constata qu'il ne se trouvait plus qu'à quelques centimètres du gouffre. Il posa le regard sur le gant qui l'avait sauvé et entendit ou plutôt, ressentit la respiration saccadée de son propriétaire. Il bifurqua la tête, et remarqua Laguerra se tenant du bout de son sabre, celui-ci planté dans la terre. Alors que les autres continuaient sans pouvoir s'arrêter de dévaler la pente, la main de la bretteuse lâcha son ventre pour venir empoigner sa main gauche. Il comprit d'un regard bref qu'il allait devoir continuer ce chemin sinueux ainsi. Une fois arrivés en bas, Zia et Esteban se jetèrent dans les bras de leur frère. Pedro et Sancho n'en revenaient toujours pas de ce qui venait de se dérouler sous leurs yeux. Laguerra qui s'était reculée des enfants remit son arme dans son fourreau, se plaça aux cotés de Mendoza et croisa les bras. Le marin la regarda, surpris.
:Mendoza:: Et bien, il me doit encore une fois de vous remercier, señorita Laguerra.
:Laguerra:: Ne me remerciez pas, remerciez plutôt mon valeureux sabre qui a su tenir sous l'effet de nos deux poids.
Un sourire en coin vint s'étaler sur le visage du capitaine. Il s'agenouilla alors, non pas face à Laguerra, mais à son fourreau.
:Mendoza:: Je te remercie, valeureux et fidèle sabre de la señorita Laguerra, d'avoir sauvé Tao.
La jeune femme se prit d'un impressionnant fou rire, qui était rare soit-il. Mendoza répondit de même en se relevant. Les enfants et les seconds du marin s'approchèrent d'eux.
:Mendoza:: Bon, maintenant que vous avez fini de faire les guignols, on va pouvoir aller explorer le village.
Esteban n'arriva pas à déterminer si le ton employé voulait exprimer du soulagement accompagné d'une pointe d'humour, ou une fureur intérieure sacrément bien dissimulée. Mais ses doutes se confirmèrent à la suite de cette phrase.
:Mendoza:: Et vous n'avez pas intérêt à faire n'importe quoi, n'importe où et n'importe quand. Laguerra et moi vous avons tirés d'affaire cette fois-ci, mais nous ne serons pas toujours là pour protéger votre derrière. Alors je vous conseille d'un peu plus réfléchir à la prochaine idée qui vous effleurera l'esprit, c'est clair ?
Les trois concernés hochèrent la tête, mal à l'aise. Les sept voyageurs continuèrent alors leur chemin vers Lalibela sur cette note aigue.
Esteban, en tête du groupe, rencontra un vieil homme, sans doute le prêtre du village.
:Esteban:: Bonjour monsieur, je m'appelle Esteban. Et voici mes amis Tao, Zia, Pichu, Mendoza, Laguerra, Pedro et Sancho. Nous venons en paix.
Prêtre: Ça alors, on peut dire que vous êtes des étrangers atypiques.
Esteban haussa un sourcil face à cette affirmation.
Prêtre: Nous vous avons vus venir ici à bord de cet immense oiseau, et votre impressionnante glissade nous a fort interpelés, je dois dire. Vous n'êtes pas blessés, j'espère.
:Zia:: Non merci, tout le monde va bien grâce à eux.
Souriante, Zia lui montra Mendoza et Laguerra, en guise de rachat progressif de leur erreur.
Prêtre: Je vois, je vois. Mais ne restez donc pas ici, venez.
Le vieillard les conduisit vers les habitations. Zia remarqua deux jeunes garçons qui les examinaient de la tête aux pieds. Pedro et Sancho se lamentèrent de nouveau, mais l'homme à la barbe blanche trouva bien vite une solution pour y remédier.


Prêtre: Tenez mes amis. Je vous prie d'accepter ceci. C'est une marque de respect et d'affection, que nous appelons goucha.
Les deux marins n'attendirent pas une seule seconde de plus et s'empiffrèrent de ces fameux et délicieux gouchas sous les regards amusés de leurs amis.
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Zia qui n'avait guère oublié la raison de leur venue, aborda le sujet qui lui brulait les lèvres.
:Zia:: Grand Prêtre, nous sommes venus ici dans votre village parce qu'une carte nous l'a indiqué. Nous pensons que nous pouvons trouver des indices sur ce que nous recherchons, et nous aimerions savoir si vous n'auriez pas par hasard une inscription ou même un bâtiment qui aurait un rapport avec une cité d'or.
Prêtre: Une cité d'or ? Malheureusement non jeune fille, je n'en connais aucun ici.
Le visage de Zia afficha une mine déçue, ce que l'homme ne manqua pas de remarquer.
Prêtre: Mais nous avons une église. Elle ne parle pas de cités d'or, mais vous pouvez toujours y jeter un coup d'œil.
:Tao:: Une église ? Où ça ?
Prêtre: Je vais vous y conduire.








~~~~~








Alors que Gaspard maintenant la barre sur le pont de la Nef, Ambrosius écrivait dans son journal. Il rumina, furieux de la trahison de Laguerra. Dommage qu'il ne pouvait pas lui faire payer, il aurait tant aimé. Mais son intention se portait sur tout autre chose. Quelque chose qui le tracassait. Il n'avait rien trouver dans le Temple Mémoire en Inde, et il n'avait plus la pierre de Mu. Donc, plus aucune piste. Mais il se ravisa. Tant pis s'ils trouvaient la cinquième cité avant lui, il éluciderait de toute façon le chemin vers la sixième. Et puis, il reprendrait bien le trésor qui s'y cache, d'une manière ou d'une autre. Il émit un rire rauque.
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Finalement, tout se passait à merveille.









~~~~~









Nos héros arrivèrent devant un bâtiment en pierre qui semblait enfoncé dans le sol.
Tao se saisit de l’occasion pour faire part à ses amis d’une hypothèse quant à la construction de l’église. Le prêtre lui affirma que c’était bien ça, étonné de la grande perspicacité qui animait le jeune garçon. Ils descendirent des escaliers qui semblaient taillés dans la roche, tout comme l’église.Une fois arrivés devant, ils s’engagèrent dans un couloir éclairé par des flammes qui reflétaient les tapis et peintures présents sur les murs.
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Tous furent ébahis par la beauté de l’endroit. Esteban reconnut immédiatement un dessin catholique qu’il avait l’habitude de voir au monastère de Barcelone.
Tout à coup, Sancho s’agrippa à Pedro à la vue d’étranges bestioles se faufilant sur le sol. Pedro tomba bien sûr, ne pouvant supporter le poids de son compagnon.
:Pedro:: Sanchoooo ! Tu m’écrases !
:Sancho:: Ah euh oups, désolé Pedro.
Il se redressa rapidement et aida son compagnon à se relever. Il se fit tout petit face au regard agacé et furieux de Pedro.
Soudain, Zia fit une étrange découverte.
:Zia:: Hé ! Venez voir ! Il y’a une grosse machine ici !
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:Tao:: Wouaaaaa ! Qu’est-ce que c’est que ça ?
:Esteban:: Je ne sais pas. Il faudrait peut-être l’activer.
:Laguerra:: Surtout pas !
Tout le monde se retourna, surpris.
:Zia:: Mais, pourquoi ?
:Laguerra:: Ça ne vous rappelle rien ? C’est probablement la fameuse machine à tremblements de terre dont Ambrosius parlait.
:Esteban:: Mais, ça n’a aucun sens. Pourquoi les Mûens voudraient-ils que nous provoquions un tremblement de terre ?
:Mendoza:: Pour faire apparaître quelque chose peut-être.
Tao, peu sûr de l’affirmation de son ami, s’avança vers l’énorme engin métallique.
:Tao:: Mmh, je ne vois rien. Oh ! Regardez ! C’est de l’orichalque !
En effet, un tube superposé contenait un liquide jaune visqueux.
:Esteban:: On devrait quand même essayer ! C’est notre seule piste !
:Mendoza:: Non, c’est trop dangereux. Imagine que l’église s’effondre sur nous et nous engloutisse, on est tous morts !
Esteban soupira, déçu.
:Tao:: Oh ! Formidable !
:Zia:: Qu’y a-t-il Tao ?
:Tao:: Il y’a une sorte d’encoche, qui a la même forme que la pierre de Mu !
:Esteban:: Bah ça alors, qu’est-ce qu’elle doit bien faire là ?
:Mendoza:: Elle sert peut-être à actionner la machine.
:Esteban:: Ha ! Une raison de plus pour qu’on l’active ! Vas-y Tao !
Prêtre: Attendez ! Si ça devait mal tourner, il y a toujours une issue de secours.
Tous hochèrent la tête, un peu plus rassurés. Tao se tourna alors en direction de Mendoza, comme pour lui demander du regard son autorisation. Hésitant, le navigateur regarda Laguerra. Tous deux se comprirent du regard; ils n’étaient pas sereins. Mais la jeune femme tenta de rassurer Mendoza, tout comme elle même d’ailleurs, en arguant qu’il y avait de toute manière un endroit pour sortir inerte de l’église. Mendoza donna enfin son accord à Tao, les paroles de Laguerra ayant visiblement réussi leur effet.
:Tao:: Bon, vous êtes prêts ?
Les autres répondirent un « oui » étouffé par l’angoisse.
:Tao:: Alors c’est parti.
La pierre, une fois posée sur son socle respectif, s’enfonça directement dans la machine grâce à un mécanisme, hypothèse émise à cause des cliquetis bruyants que provoquait l’engin métallisé. L’orichalque commença alors à bouillir en quelque sorte, provoquant de petites bulles. Un mécanisme se déplia, un peu comme le luminarion d’Ambrosius, et une fois en position, il commença a taper le sol. Le bruit pouvait s’entendre à des kilomètres à la ronde, effrayant des oiseaux perchés sur un arbre quelques mètres plus haut. Le groupe commença à perdre de plus en plus de sérénité, sauf Tao qui semblait obnubilé par ce qui se passait sous ses yeux. Mais alors que tout allait bien, selon le jeune nacaal, une gigantesque fissure se dessina sur un mur.
:Pedro:: Regardez !
:Mendoza:: Les enfants, il faut sortir d’ici ! Tout va s’écrouler !
:Zia:: Non attendez ! Esteban, Tao ! Ça ne vous rappelle rien ?
:Tao:: Mais si ! Bien sûr ! Le tambour à Guilin !
:Esteban:: Les vibrations avaient provoqué l’effondrement des murs qui eux mêmes avaient été remplacé par des plaques d’orichalque tournantes avec des inscriptions muennes !
Mais, les rapprochements flagrants émis par les enfants ne semblaient guère rassurer leurs compagnons. Esteban, Zia et Tao qui étaient désormais parfaitement confiants prirent les mains des adultes et se dirigèrent vers le centre de la pièce.
C’est alors, qu’une nouvelle fois, une fumée ardente enveloppa nos héros. Mais elle s’évacua bien vite lorsque le plafond se dissipa. Une fois que l’air était à nouveau respirable, Zia sentait les deux mains qui la tenaient baisser d’intensité la pression exercée sur leur emprise. Mendoza et Laguerra finirent par lâcher la jeune inca, et tous furent éclairés par les rayons du soleil qui s’étaient engouffrés dans la pièce. Soudain, des lignes prirent vie et formèrent comme un chemin pour se rejoindre les une des autres. C’est alors que Mendoza entrouvrit la bouche, fasciné par ce qu’il avait sous ses pieds. Il s’agissait bien là d’une immense carte dorée, ressemblant beaucoup à celle en Arabie.
:Esteban:: C’est...
:Tao:: C’est incroyable !
:Laguerra:: C’était donc ça, ce fameux au delà du ciel brillera l’endroit.
:Zia:: On dirait bien que oui ! Regardez ! Ce diamant ! Vous croyez que ça pourrait être...
:Tao:: La cité d’or !
Tao cria de joie tandis que le Grand Prêtre eut soudain une révélation.
Prêtre: Oh, mais ce diamant me dit quelque chose. On dirait celui de la Reine de Saba.
:Esteban:: La Reine de Saba ?
Prêtre: Oui, selon la légende, la Reine de Saba aurait construit son propre royaume pour y protéger son trésor, le plus gros diamant qui n’est jamais existé.
Pedro et Sancho se croisèrent du regard tout en se frottant les mains d’un sourire malsain. Mendoza, quant à lui, s’écarta de la carte pour mieux l’examiner.
:Mendoza:: Attendez, laissez moi voir. Ces tracés, on dirait une rivière, ou un fleuve. Et ça là, on dirait une montagne, ou un volcan.
:Esteban:: Oh non ! Pas encore un volcan j’espère !
:Tao:: Boh, ça m’étonnerait. On déjà eu un volcan pour Sundagatt, et une montagne pour Badalom. Souvent, l’emplacement des cités est varié. Ça doit correspondre à autre chose, déduction de nacaal !
:Laguerra:: Nous verrons bien. Commençons par suivre le fleuve, nous apercevrons sûrement cela au loin.
:Esteban:: Alors nous n’avons pas de temps à perdre !
:Zia:: En route pour la cinquième cité d’or !









~~~~~








:Gaspard:: Où allons-nous messire Ambrosius ?
:Ambrosius:: Vous verrez bien ! Et cessez donc de vous plaindre et rendez-vous utile pour une fois ! Prenez la barre !
:Gaspard:: Bien, messire Ambrosius.
Gaspard exécuta l’ordre aussitôt, bien qu’il appréhendait la fameuse destination qu’Ambrosius refusait catégoriquement de lui révéler. Celui-ci descendit l’échelle de bois qui reliait le pont au ventre du navire, émit une pression sur un bouton que lui seul en connaissait l’existence et se dirigea vers la trappe. Il arriva alors dans son repère sombre, les quelques faisceaux de lumière éclairant légèrement la pièce se reflétaient sur ses lunettes d’une teinte rouge sang. L’alchimiste monta sur ses échasses, pivota sur lui-même en demi-cercle rentrant peu à peu dans son armure, celle-ci se recouvrant d’une large tunique bordeaux. Il resserra le noeud autour de sa taille. Ça y’est, les choses sérieuses pouvaient enfin commencer...

Re: Fanfic saison 4 faite maison

Posté : 06 févr. 2021, 12:24
par Este
Enfin cette suite !! Merci beaucoup ziaguerra j'ai adoré le chapitre et la petite inspiration de la vraie saison 4 !!