Re: FANFICTION COLLECTIVE : Tome 2
Posté : 01 août 2018, 20:07
Impressions en cours de lecture ~ Chapitre 20
(Partie 5)
Esteban et Mendoza se chargeraient de trouver un prêtre qui accepte de célébrer l’union le jour même, en commençant par s’adresser au monastère de la cathédrale où Esteban avait gardé des liens. Logique. Un service pour un rendu.
M : […] et en cas d’échec nous trouverons bien en ville un prêtre peu regardant et intéressé par l’argent. Ils sont plus nombreux que tu ne penses. *Prière d’insérer un éclat de rire grinçant*
M : […] Ecoute, Esteban, ce n’est qu’une formalité, qui sera vite expédiée. https://media.giphy.com/media/l2SpUoAPo ... /giphy.gif
E : Tu voudrais savoir pourquoi…. Je comprends…. Et en allant là-bas nous éloignons Nacir du danger, si danger il y a. Mmm. Wait and see. ^^
R : La Santa Catalina est arrivée plus tôt que prévu. J’étais venu vous prévenir. Le temps c’est de l’argent.
R : Une formalité ? Oh, je vois…puis-je vous féliciter ? Feu mon père aurait été fou de joie. Dommage qu’il ne puisse malheureusement pas mener sa fille à l’autel…. https://media.giphy.com/media/ac7MA7r5IMYda/giphy.gif
E : Je crois que vous aviez aussi une formalité à régler mais je suppose qu’il est trop difficile de retrouver la trace d’un homme blessé de deux balles. Esteban, ce n’est pas le moment de la ramener !
M : Prenez garde à vous, Roberto, la mère de Gonzales n’a sûrement pas apprécié le traitement que vous avez réservé à son fils et pourrait bien chercher à rabattre votre superbe ! Réplique ma foi très élégante !
E : Si Hava pouvait nous en débarrasser ! https://media.giphy.com/media/l3mZasrfw ... /giphy.gif
Il riait à gorge déployée, d’un rire qui glaça le sang d’Esteban. Puis il s’arrêta brusquement et partit sans un mot de plus. Euuuuuh… Mendoza, là, il faudrait songer à consulter un psychiatre, ça me semble nécessaire !
H : […]il fallait que tu essayes encore, jusqu’à ce que tu comprennes que ton désir obscurcit ton jugement.
G : […]votre désir obscurcit votre jugement ces temps-ci… Telle mère, tel fils, on dirait….
H : T’ai-je déjà parlé de ce que m’a fait subir ce Roberto ? C’était un client occasionnel. Nous le craignions toutes. Ok, on commence à y voir plus clair dans triste passé d’Hava. Et Roberto est décidément une infâme crevure !
H : […] Parce que sans elle, nous étions sûres de crever de faim ou de maladie. Moi, je ne voulais pas crever. Pas avant de m’en sortir. Je voulais te revoir. Tu reviendrais, tu me sauverais. Les années ont passé. J’ai été patiente, très patiente. Et puis la patience a payé. Un soir, j’ai failli mourir entre les bras de cet homme. La patronne a été très bien payée. Elle aurait pu se débarrasser de moi, je n’étais plus qu’un amas de chair souffrante qu’elle avait intérêt à voir mourir ailleurs que chez elle. Bon, c’est glauque, mais j’ai apprécié le vocabulaire cru (« crever ») qui renforce la crédibilité et la noirceur du contexte. Cela résonne clairement, et me fait penser à une scène (réelle, cette fois-ci) que j’avais vue alors que j’étais en Afrique. Il faudra que je songe à te la raconter, Nono.
H […] un client qui venait d’en finir s’est proposé pour m’examiner. Je n’avais jamais eu affaire à lui, mais il se murmurait parmi les filles qu’il ne faisait rien, il demandait juste qu’on lui raconte son histoire et il écoutait. Comme Perceval, sauf que ce n’est pas lui qui parle !
H : […] Contente toi de le haïr. Coquille éventuelle. Il manque un tiret, non ?
H : […] Si cela peut te consoler, sache que si tu meurs, je me résoudrai peut-être à le tuer malgré tout. Voilà qui est intéressant…
H : […] Ainsi que Gomez, quoique ce dernier puisse encore nous être utile, il a toujours ses entrées à la cour et m’a l’air d’être aisément manipulable. Alors ça, ça va être drôlement sympathique à lire. Qui sera le maître (ou la maîtresse) de la manipulation ? Jusqu’ici, Hava a été la plus forte, mais contre Gomez ? Un duel de titans !
H : […] Ah, comme il me tarde de voir ce bon Charles anéanti, par la faute de son propre fils ! Bien évidemment, tu seras à mes côtés ce jour-là, allons, bois…et tu retrouveras ton fils, et nous nous vengerons de ton traître de père… En tout cas, quelle famille !
Z : Je ne sais pas s’il aura le cœur à boire…
S : Tu tu tu tu parles, un bon p’tit vin, ça passe tous les chacha, tous les chagrins ! Il ne manquerait plus que ça. Un Mendoza ivre mort…
Quand Zia eut terminé de leur conter leurs mésaventures, la bouteille était vide et les deux marins avaient perdu toute leur bonne humeur. J’imagine très bien la scène...
S : Oh oh oh ! Gagagar…Gargongon…oh oh, en plus il est p’têt ben troué comme un frofrofro, comme un fromage à l’heure qu’il est ! Un gorgonzola ? (Pardon, pardon… )
Il serait seul, enfin, seul mais plus lié que jamais. Lié aux souvenirs, lié à ses obligations, sans pouvoir poursuivre l’unique but qui l’empêcherait de perdre la raison : les retrouver et les éliminer définitivement. Il allait devoir être patient. Un drôle de parallèle avec Gonzales et Hava, qui eux aussi parlent de patience avant de pouvoir se venger. Je suppose, Nonoko, que tu es en train d’user de ce subterfuge pour nous montrer comment Gonzales en est arrivé là…mais à travers l’évolution que tu vas infliger à Mendoza. Ou alors c’est moi qui divague complétement, c’est possible aussi.
[…] prisonnier de la Santa Catalina où le fantôme de la présence d’Isabella le suivrait nuit et jour, sans répit. Comme le sien avait poursuivi Isabella, plusieurs chapitres plus tôt. Je me souviens de la scène où elle s’était assise sur le fauteuil en cuir.
Qu’est-ce qui lui avait pris d’accepter de porter cet anneau ? […] Il avait senti la main d’Isabella trembler dans la sienne, au moment où il avait passé l’anneau à son doigt. Elle avait d’abord esquissé un geste de recul, ne s’attendant probablement pas à devoir être obligée d’en passer par là. Obstinément, elle avait gardé les yeux baissés, même quand elle avait dû elle-même procéder au cérémonial, en un geste brusque, avant de se détourner prestement. Brrr. Sinistre mariage. M’enfin, s’il garde l’anneau, c’est peut-être qu’il n’a pas totalement renoncé, consciemment ou non. Ou alors qu’il souhaite garder ce souvenir.
Pour sa part, il avait rempli son office et repartait la panse pleine, le palais pâteux et les oreilles tintant encore de la joyeuse musique des pièces d’or que le marin avait déversées de sa bourse pour achever de le convaincre de le suivre. Qu’il était bon de remettre les brebis égarées sur le droit chemin ! Et comme l’Eglise avait raison de ne pas brader la bénédiction divine ! https://media.giphy.com/media/l4HnKwiJJ ... /giphy.gif
Toutefois, il n’aurait pas aimé recevoir les mariés dans son confessionnal, ou alors après avoir bu deux ou trois bouteilles. Ha,tu m'étonnes ! Et pour cause !
Il était donc soulagé de quitter cette assemblée étrange dont il n’aurait su dire quel membre le mettait le plus mal à l’aise, entre la vieille austère, l’époux taciturne, l’épouse farouche, le jeune couple tristement aimable et les maîtres de maison trop empressés. Je crois qu’il en est de même pour nous autres lecteurs…
Zia avait caché l’engin trop voyant dans un ravin à bonne distance. Il leur faudrait bien un heure de route pour le rejoindre, à l’allure d’Isabella. Petite coquille. UNE heure.
E : Il m’a demandé si je ne regrettais pas de ne pas être resté au monastère il y a dix ans et quand je lui ai dit que non, il a prétendu que j’avais fait le mauvais choix et pris le chemin de la perdition, et que je n’avais pas le droit d’y entraîner les autres, sous peine de commettre un péché mortel, et de compromettre le salut des âmes de ceux qui croyaient que j’étais un élu Ah, je suis « contente » de voir cet aspect de l’Église de l’époque ressurgir. Tout le clergé ne pouvait être aussi bienveillant que le Père Rodriguez envers les dons d’Esteban.
Sans qu’il pût les refouler, ils faisaient affluer à sa mémoire des souvenirs de beuveries misérables et de coucheries frénétiques lors desquelles il tentait d’oublier son amour perdu dans les bras d’une Carlotta ou d’une Esméralda. Tiens, revoilà Carlotta ! ^^
Il s’essuya le front, mais ce n’était pas la sueur qui coulait dans ses yeux. https://media.giphy.com/media/TqsYX4kmAj1JK/giphy.gif
F : Eh ben voilà, on va pouvoir s’entendre ! Qu’est-ce que je gagne si je parle ?
Il retira son alliance et la lui tendit. Wokéééééé, je retire ce que j’ai écrit plus haut !
F : C’était une belle femme, vraiment, un peu âgée mais bien conservée. Elle m’ a demandé de porter le foulard et de t’aborder pour te féliciter pour ton mariage, mais ça, tu le sais déjà. Tu avais l’air sinistre, je trouvais ça drôle. Et le foulard me plaisait bien. C’est d’une cruauté sans nom ! Tu es diabolique !
F : Eh beau brun, j’suis pas mal non plus, tu devrais pas t’emballer si vite pour une ombre ! L’ombre de qui, de quoi ? Je sais bien que tu parles d’Hava, de manière évidente, mais la réplique me semble plus profonde que cela. S’emballer pour une ombre, poursuivre des chimères…
Bon, tout cela était passablement sinistre, mais j’ai beaucoup apprécié les trésors d’écriture déployés de part et d’autres pour faire ressortir cette atmosphère. Affaire à suivre, et bravo !
(Partie 5)
Esteban et Mendoza se chargeraient de trouver un prêtre qui accepte de célébrer l’union le jour même, en commençant par s’adresser au monastère de la cathédrale où Esteban avait gardé des liens. Logique. Un service pour un rendu.
M : […] et en cas d’échec nous trouverons bien en ville un prêtre peu regardant et intéressé par l’argent. Ils sont plus nombreux que tu ne penses. *Prière d’insérer un éclat de rire grinçant*
M : […] Ecoute, Esteban, ce n’est qu’une formalité, qui sera vite expédiée. https://media.giphy.com/media/l2SpUoAPo ... /giphy.gif
E : Tu voudrais savoir pourquoi…. Je comprends…. Et en allant là-bas nous éloignons Nacir du danger, si danger il y a. Mmm. Wait and see. ^^
R : La Santa Catalina est arrivée plus tôt que prévu. J’étais venu vous prévenir. Le temps c’est de l’argent.
R : Une formalité ? Oh, je vois…puis-je vous féliciter ? Feu mon père aurait été fou de joie. Dommage qu’il ne puisse malheureusement pas mener sa fille à l’autel…. https://media.giphy.com/media/ac7MA7r5IMYda/giphy.gif
E : Je crois que vous aviez aussi une formalité à régler mais je suppose qu’il est trop difficile de retrouver la trace d’un homme blessé de deux balles. Esteban, ce n’est pas le moment de la ramener !
M : Prenez garde à vous, Roberto, la mère de Gonzales n’a sûrement pas apprécié le traitement que vous avez réservé à son fils et pourrait bien chercher à rabattre votre superbe ! Réplique ma foi très élégante !
E : Si Hava pouvait nous en débarrasser ! https://media.giphy.com/media/l3mZasrfw ... /giphy.gif
Il riait à gorge déployée, d’un rire qui glaça le sang d’Esteban. Puis il s’arrêta brusquement et partit sans un mot de plus. Euuuuuh… Mendoza, là, il faudrait songer à consulter un psychiatre, ça me semble nécessaire !
H : […]il fallait que tu essayes encore, jusqu’à ce que tu comprennes que ton désir obscurcit ton jugement.
G : […]votre désir obscurcit votre jugement ces temps-ci… Telle mère, tel fils, on dirait….
H : T’ai-je déjà parlé de ce que m’a fait subir ce Roberto ? C’était un client occasionnel. Nous le craignions toutes. Ok, on commence à y voir plus clair dans triste passé d’Hava. Et Roberto est décidément une infâme crevure !
H : […] Parce que sans elle, nous étions sûres de crever de faim ou de maladie. Moi, je ne voulais pas crever. Pas avant de m’en sortir. Je voulais te revoir. Tu reviendrais, tu me sauverais. Les années ont passé. J’ai été patiente, très patiente. Et puis la patience a payé. Un soir, j’ai failli mourir entre les bras de cet homme. La patronne a été très bien payée. Elle aurait pu se débarrasser de moi, je n’étais plus qu’un amas de chair souffrante qu’elle avait intérêt à voir mourir ailleurs que chez elle. Bon, c’est glauque, mais j’ai apprécié le vocabulaire cru (« crever ») qui renforce la crédibilité et la noirceur du contexte. Cela résonne clairement, et me fait penser à une scène (réelle, cette fois-ci) que j’avais vue alors que j’étais en Afrique. Il faudra que je songe à te la raconter, Nono.
H […] un client qui venait d’en finir s’est proposé pour m’examiner. Je n’avais jamais eu affaire à lui, mais il se murmurait parmi les filles qu’il ne faisait rien, il demandait juste qu’on lui raconte son histoire et il écoutait. Comme Perceval, sauf que ce n’est pas lui qui parle !
H : […] Contente toi de le haïr. Coquille éventuelle. Il manque un tiret, non ?
H : […] Si cela peut te consoler, sache que si tu meurs, je me résoudrai peut-être à le tuer malgré tout. Voilà qui est intéressant…
H : […] Ainsi que Gomez, quoique ce dernier puisse encore nous être utile, il a toujours ses entrées à la cour et m’a l’air d’être aisément manipulable. Alors ça, ça va être drôlement sympathique à lire. Qui sera le maître (ou la maîtresse) de la manipulation ? Jusqu’ici, Hava a été la plus forte, mais contre Gomez ? Un duel de titans !
H : […] Ah, comme il me tarde de voir ce bon Charles anéanti, par la faute de son propre fils ! Bien évidemment, tu seras à mes côtés ce jour-là, allons, bois…et tu retrouveras ton fils, et nous nous vengerons de ton traître de père… En tout cas, quelle famille !
Z : Je ne sais pas s’il aura le cœur à boire…
S : Tu tu tu tu parles, un bon p’tit vin, ça passe tous les chacha, tous les chagrins ! Il ne manquerait plus que ça. Un Mendoza ivre mort…
Quand Zia eut terminé de leur conter leurs mésaventures, la bouteille était vide et les deux marins avaient perdu toute leur bonne humeur. J’imagine très bien la scène...
S : Oh oh oh ! Gagagar…Gargongon…oh oh, en plus il est p’têt ben troué comme un frofrofro, comme un fromage à l’heure qu’il est ! Un gorgonzola ? (Pardon, pardon… )
Il serait seul, enfin, seul mais plus lié que jamais. Lié aux souvenirs, lié à ses obligations, sans pouvoir poursuivre l’unique but qui l’empêcherait de perdre la raison : les retrouver et les éliminer définitivement. Il allait devoir être patient. Un drôle de parallèle avec Gonzales et Hava, qui eux aussi parlent de patience avant de pouvoir se venger. Je suppose, Nonoko, que tu es en train d’user de ce subterfuge pour nous montrer comment Gonzales en est arrivé là…mais à travers l’évolution que tu vas infliger à Mendoza. Ou alors c’est moi qui divague complétement, c’est possible aussi.
[…] prisonnier de la Santa Catalina où le fantôme de la présence d’Isabella le suivrait nuit et jour, sans répit. Comme le sien avait poursuivi Isabella, plusieurs chapitres plus tôt. Je me souviens de la scène où elle s’était assise sur le fauteuil en cuir.
Qu’est-ce qui lui avait pris d’accepter de porter cet anneau ? […] Il avait senti la main d’Isabella trembler dans la sienne, au moment où il avait passé l’anneau à son doigt. Elle avait d’abord esquissé un geste de recul, ne s’attendant probablement pas à devoir être obligée d’en passer par là. Obstinément, elle avait gardé les yeux baissés, même quand elle avait dû elle-même procéder au cérémonial, en un geste brusque, avant de se détourner prestement. Brrr. Sinistre mariage. M’enfin, s’il garde l’anneau, c’est peut-être qu’il n’a pas totalement renoncé, consciemment ou non. Ou alors qu’il souhaite garder ce souvenir.
Pour sa part, il avait rempli son office et repartait la panse pleine, le palais pâteux et les oreilles tintant encore de la joyeuse musique des pièces d’or que le marin avait déversées de sa bourse pour achever de le convaincre de le suivre. Qu’il était bon de remettre les brebis égarées sur le droit chemin ! Et comme l’Eglise avait raison de ne pas brader la bénédiction divine ! https://media.giphy.com/media/l4HnKwiJJ ... /giphy.gif
Toutefois, il n’aurait pas aimé recevoir les mariés dans son confessionnal, ou alors après avoir bu deux ou trois bouteilles. Ha,tu m'étonnes ! Et pour cause !
Il était donc soulagé de quitter cette assemblée étrange dont il n’aurait su dire quel membre le mettait le plus mal à l’aise, entre la vieille austère, l’époux taciturne, l’épouse farouche, le jeune couple tristement aimable et les maîtres de maison trop empressés. Je crois qu’il en est de même pour nous autres lecteurs…
Zia avait caché l’engin trop voyant dans un ravin à bonne distance. Il leur faudrait bien un heure de route pour le rejoindre, à l’allure d’Isabella. Petite coquille. UNE heure.
E : Il m’a demandé si je ne regrettais pas de ne pas être resté au monastère il y a dix ans et quand je lui ai dit que non, il a prétendu que j’avais fait le mauvais choix et pris le chemin de la perdition, et que je n’avais pas le droit d’y entraîner les autres, sous peine de commettre un péché mortel, et de compromettre le salut des âmes de ceux qui croyaient que j’étais un élu Ah, je suis « contente » de voir cet aspect de l’Église de l’époque ressurgir. Tout le clergé ne pouvait être aussi bienveillant que le Père Rodriguez envers les dons d’Esteban.
Sans qu’il pût les refouler, ils faisaient affluer à sa mémoire des souvenirs de beuveries misérables et de coucheries frénétiques lors desquelles il tentait d’oublier son amour perdu dans les bras d’une Carlotta ou d’une Esméralda. Tiens, revoilà Carlotta ! ^^
Il s’essuya le front, mais ce n’était pas la sueur qui coulait dans ses yeux. https://media.giphy.com/media/TqsYX4kmAj1JK/giphy.gif
F : Eh ben voilà, on va pouvoir s’entendre ! Qu’est-ce que je gagne si je parle ?
Il retira son alliance et la lui tendit. Wokéééééé, je retire ce que j’ai écrit plus haut !
F : C’était une belle femme, vraiment, un peu âgée mais bien conservée. Elle m’ a demandé de porter le foulard et de t’aborder pour te féliciter pour ton mariage, mais ça, tu le sais déjà. Tu avais l’air sinistre, je trouvais ça drôle. Et le foulard me plaisait bien. C’est d’une cruauté sans nom ! Tu es diabolique !
F : Eh beau brun, j’suis pas mal non plus, tu devrais pas t’emballer si vite pour une ombre ! L’ombre de qui, de quoi ? Je sais bien que tu parles d’Hava, de manière évidente, mais la réplique me semble plus profonde que cela. S’emballer pour une ombre, poursuivre des chimères…
Bon, tout cela était passablement sinistre, mais j’ai beaucoup apprécié les trésors d’écriture déployés de part et d’autres pour faire ressortir cette atmosphère. Affaire à suivre, et bravo !