Les blagues du blabla.

[Aurélien]

Ben dis donc c'est qu'il a du carctère ce Pablo ! Dommage qu'il n'y a pas de "Super Nanny version cité d'or !

[TEEGER59]

Ben dis donc c'est qu'il a du caractère ce Pablo ! Dommage qu'il n'y a pas de "Super Nanny version cité d'or !

[Xia]

Isabella étant souffrante, Mendoza va coucher ses enfants. Comme le fait son épouse, il leur raconte une histoire dans le salon de l'hacienda familiale. Toujours suivant les habitudes de sa femme, il va dans la chambre d'Elena et écoute si la fillette dit bien ses prières. Il fait de même avec Pablo dans la sienne. Puis vient le tour de Joaquim, qui termine ses prières par :
Joaquim : Protège Maman, protège Papa, protège Elena, protège Pablo, protège Grand-mère et au revoir Grand-père. Amen.
étonné : Pourquoi dis-tu "Au revoir Grand-père" ?
Joaquim : Je ne sais pas Papa, ça me semblait être la seule chose à dire.
Le lendemain, Fernando Laguerra décède.
Juan Carlos, bien que réjoui, trouve que c'est une étrange coïncidence.
Quelques mois plus tard, Isabella est prise de violentes nausées et Mendoza doit de nouveau s'occuper des enfants. Il va dans la chambre de Joaquim et écoute ses prières qui se terminent par :
Joaquim : Protège Maman, protège Papa, protège Elena, protège Pablo, protège le bébé qui va arriver et au revoir Grand-mère. Amen.
Le lendemain, Raquel Mendoza décède à son tour.
Le capitaine, certes attristé par la disparition de sa mère, se dit que son fils est en contact avec l'au-delà.
Quelques semaines plus tard, la fille du Docteur est toujours alitée et son mari doit se charger une fois de plus des enfants. Le soir, il écoute les prières de ses rejetons, dont celles de Joaquim qui se terminent :
Joaquim : Protège Maman, protège Elena, protège Pablo, protège le bébé qui va arriver et au revoir Papa. Amen.
Juan Carlos Mendoza reçoit un énorme choc lorsqu'il entend ces paroles. Il ne dort pas de la nuit et va très tôt au port voir ses marins. Nerveux toute la journée, il reste sur le quai, refuse de monter sur l'Esperanza II et ne s'approche pas plus de dix mètres du bord de la digue. A minuit, il est toujours vivant et décide de rentrer chez lui.
étonnée : C'est bien la première fois que tu rentres si tard ! Que s'est-il passé ?
: J'ai passé la pire journée de ma vie, mais n'en parlons plus.
les yeux pétillants : En parlant de vie… j'ai une bonne nouvelle à t'annoncer…
ému : Il… il est arrivé ?
: Non, j'en ai encore pour quelques semaines. Mais Tao est passé prendre de mes nouvelles en début de soirée et il m'a appris… oh tu vas être content mon amour ! Gaspard a voulu coupé le lierre du mur de sa maison et il est tombé de son échelle. Il est mort sur le coup !

[TEEGER59]

Gaspard à pris la place du facteur !
J'étais tentée de la mettre mais le père aurait été Miguel.

[Xia]

J'étais tentée de la mettre mais le père aurait été Miguel.

Moi aussi j'avais pensé à Miguel, mais Isabella n'aurait pas pu dire à son mari qu'il allait être content

[Xia]

Dans leur laboratoire, Ambrosius et Helvétius ont fait une expérience qui, malheureusement pour eux, a mal tournée. Le cerveau en compote, les deux alchimistes ont été internés dans l'asile de Damas où, à la demande d'Isabella, ils reçoivent les meilleurs soins possibles à base de bains, plantes médicinales, musiques et autres activités thérapeutiques.
Un jour, alors qu'ils passent près du tepidarium des thermes, Helvétius glisse sur une flaque d'eau et tombe dans le bassin. Ne sachant pas nager, il coule à pic. Ambrosius saute à son tour et ramène son bras-droit à la surface. Quand le directeur de l'asile apprend cet acte de bravoure, il envoie aussitôt un pigeon voyageur à Isabella pour l'informer des progrès du traitement de son patient. La señora Mendoza arrive le lendemain pour rendre visite à son mentor. Après s'être brièvement entretenue avec le directeur, elle se dirige vers lui :
: Ambrosius, comment allez-vous ?
: Bien… mais ça pourrait aller mieux si je pouvais sortir d'ici.
: Justement… Le directeur pense que vous commencez à retrouver votre équilibre mental, vu que vous avez sauvé la vie d'une autre personne. Il a donc décidé que vous pouviez vous promener au-dehors de temps à autre, si je vous surveillais. Ce que je vais faire bien entendu.
: Ah ! Tant mieux !
Puis voyant que Laguerra ne disait rien, il ajoute :
: Il y a autre chose ?
gênée : Euh… eh bien… oui… J'ai bien peur d'avoir une mauvaise nouvelle à vous apprendre… Helvétius s'est pendu, dans le frigidarium, avec la ceinture de sa tunique.
: Il ne s'est pas pendu. C'est moi qui l'ait accroché là pour qu'il sèche. Ca allait plus vite dans la salle des bains froids. Bon, elles commencent quand, les sorties ?

[TEEGER59]

Mendoza se rend au monastère de Pedralbès pour se confesser.
: Mon Père, j'ai pêché...
Père Marco: Normal mon fils, vous êtes marin...
Non! Je m'accuse d'avoir péché... J'ai fauté avec une femme qui n'était pas la mienne...
Père Marco: Était-ce contre son gré, mon fils?
: Oh, non! C'était contre le mur, mon père!

[Amaya]

Non! Je m'accuse d'avoir péché... J'ai fauté avec une femme qui n'était pas la mienne...

Et qui est donc cette señorita ?

[TEEGER59]

Mendoza arrive chez le docteur en se tenant le coude et en se tordant de douleur.
: Bonjour, je crois bien que je me suis cassé le bras.
L'homme de science jette un coup d'œil et acquiesce.
: Ah oui, en effet, c'est du sérieux. Que vous est-il arrivé?
: Ça s'est produit bêtement, j'ai voulu éviter un enfant et BOOM, je n'ai rien vu venir!
: Vous vous êtes pris un arbre?
: Non, je suis tombé du lit de votre fille adoptive!

[TEEGER59]

Non! Je m'accuse d'avoir péché... J'ai fauté avec une femme qui n'était pas la mienne...

Et qui est donc cette señorita ?

Si tu as lu ma fanfic en cours, tu dois avoir une petite idée...