Re: Zia forever
Posté : 10 déc. 2021, 17:29
Les Mystérieuses Cités d'Or
Suivez et commentez les aventures d'Esteban, Zia et Tao. Après 4 saisons, les 7 cités d'or ont été découvertes !
https://www.lescitesdor.com/forum/
Zia forever
Page 50 sur 53
Re: Zia forever
Posté : 27 mars 2022, 01:29
Spring is coming. Just found it from instagram.
Re: Zia forever
Posté : 28 mars 2022, 10:47
Superbe 
Re: Zia forever
Posté : 28 mars 2022, 11:30
Je plussinte ! Magnifique Zia ! 
Re: Zia forever
Posté : 29 mars 2022, 16:05
*arrive en espérant qu'on l'apercevra pas*
*on l'aperçoit*
*soupire*
Si je suis ici, c'est pas que j'ai renoncé à ma fréquentation faible, mais que j'ai pas résisté à ceci
Je me remets aux fanarts, alors...
*on l'aperçoit*
*soupire*
Si je suis ici, c'est pas que j'ai renoncé à ma fréquentation faible, mais que j'ai pas résisté à ceci
Re: Zia forever
Posté : 29 mars 2022, 16:36
Joli fanart
Re: Zia forever
Posté : 29 mars 2022, 17:53
Re: Zia forever
Posté : 29 mars 2022, 18:31
C'est tout à fait ça !
Re: Zia forever
Posté : 30 mars 2022, 13:32
Merci à toi !
^^ merci marco, manque plus que tao esteban et le reste de l'équipe pour que la série soit complète
. Sois dis en passant, tous moins une 
Merci !
Re: Zia forever
Posté : 19 sept. 2022, 18:36
Bien bonjour, j'ai écris il y a quelques temps déjà une petite fanfiction sur Zia que j'aimerai vous partager, car c'est un personnage que j'apprécie beaucoup ! J'ai essayé de m'imaginer à quoi pouvait ressembler son enfance avant qu'elle ne se fasse enlever, voilà ! Bonne lecture !
Dans un petit village inca du nom de Puna, une bonne ambiance régnait. Les villageois préparaient une grande fête : l’Inti Raymi, « la fête du soleil », qui était l’évènement le plus important des incas. Mais ce même jour était aussi le moment où, il y a sept ans, vis le jour la petite Zia, fille de Papacamayo.
Les adultes s'affairaient en tous sens pour tout préparer, tendit que les enfants courraient partout, surexcités. Les grands ne les surveillaient presque plus, alors autant en profiter ! Mais parmi les cris joyeux, une voix fluette mais mécontente se faisait entendre :
- Erana, rends le moi !
Deux petites filles se courraient après. La première, qui tenait fermement un sac, portait une tunique rouge et des cheveux bruns tressés. Elle semblait âgée d'environ huit ans. La deuxième, plus jeune, avait les cheveux détachés retenus par un bandeau jaune et bleu et portait une petite robe verte.
- Erana ! criait celle-ci. Je t'ai demandé de me le rendre !
Mais la dénomée Erana n'en avait que faire. Elle continuait de courir, la petite fille en vert essoufflée derrière elle.
- Si tu le veux, alors viens le chercher Zia ! s'exclama la plus âgée en grimpant en haut d'un arbre.
La petite Zia s'arrêta au pied du tronc. L'arbre était bien trop haut pour elle ! N'arriverait-elle donc jamais à le récupérer ?
- Que se passe-t-il ici ? gronda une voix dans son dos.
Zia se retourna vivement. C'était un homme qui avait parlé. Grand, les cheveux foncés en bataille, il fixait les deux fillettes d'un regard interrogateur. Zia le connaissait ; il faisait escale dans leur village depuis quelques jours déjà. Cet homme se faisait appeler le Prophète voyageur.
- Et bien, que fais-tu là haut Erana ? demanda-t-il calmement.
- Je... euh... je...
- Elle m'a pris Patou ! la coupa Zia, lançant un regard suppliant vers le nouveau venu.
- Quoi ? Erana, c'est cet oiseau qui est dans ton sac ?
Le visage de la petite fille devint aussi rouge que sa tunique. Elle acquiesça timidement. Le voyageur soupira.
- Erana, descends, rends Patou à Zia et excuse-toi.
Erana ouvrit la bouche pour protester, puis songea à la punition que lui donneraient ses parents s'ils apprenaient ce qui s’était passé. En bougonnant, elle descendit de l'arbre.
- Tiens, dit-elle en tendant le sac à Zia.
- Et l'excuse alors ? la rabroua le voyageur.
- Désolé, lâcha Erana d'une voix à peine audible.
Puis elle s'éloigna en direction de la place du village.
- Merci Athanaos, dit Zia.
- Mais je t'en prie, répondit le Prophète voyageur. Nous nous revoyons tout à l'heure au village, Zia.
Puis il partit.
Zia était seule à présent. S'asseyant dans l'herbe, elle s'empressa d'ouvrir le sac. Un petit oisillon sortit timidement la tête.
- Oh, Patou ! s'exclama l'enfant en caressant l'oiseau. Tu n'as pas été trop secoué ?
Pour toute réponse, Patou se blottit dans sa main.
- Patou, tu me chatouille ! rit la petite fille.
Elle prit l'oisillon dans sa paume et le monta à la hauteur de son visage.
- Patou, je veux te faire une promesse : je serai toujours là pour toi. Nous deux, c'est pour la vie.
Patou poussa un petit cri, et voleta jusqu'à son épaule. Zia sourit. Quelle belle vie elle menait ! Pour son anniversaire ce soir là, elle montera en haut du temple pour prier Inti et Viracocha, puis elle regardera le ciel étoilé et fera un vœu. Elle était si heureuse !
- Zia, murmura une douce voix masculine.
- Papa !
Zia se précipita dans ses bras. Papacamayo lui prit la main.
- Viens, tout le monde t'attend.
Ils arrivèrent sur la place du village, où de magnifiques guirlandes de fleurs avaient été dressées pour l'occasion. On pouvait sentir l'odeur des légumes, des fruits et de la viande disposés sur une table non loin. C'était la fête du soleil, l’Inti Raymi, fête du bonheur et des récoltes ! Et c'était aussi l'anniversaire de Zia, la petite inca radieuse comme le soleil.
Ils dansèrent tout le soir, chantant des chants traditionnels. Et quand la lune fut haute dans le ciel, ils montèrent en haut du temple et prièrent les dieux. Puis, sous le ciel étoilé et devant Athanaos, son père, les villageois et Erana qui était tout sourire, Zia fit un vœu.
« Que les gens vivent en paix, avec amour et solidarité. Que chacun trouve le droit chemin, que personne n'ait peur de son destin. »
Voilà un vœu qui lui était cher, la paix sur terre et dans tous les cœurs. Et elle était sûre qu'un jour, à son tour, elle aiderait le monde.
Fin
Il lui reste encore un long chemin à parcourir, et, à ce moment là, elle ignore encore que bientôt, elle sauvera le monde.
Dans un petit village inca du nom de Puna, une bonne ambiance régnait. Les villageois préparaient une grande fête : l’Inti Raymi, « la fête du soleil », qui était l’évènement le plus important des incas. Mais ce même jour était aussi le moment où, il y a sept ans, vis le jour la petite Zia, fille de Papacamayo.
Les adultes s'affairaient en tous sens pour tout préparer, tendit que les enfants courraient partout, surexcités. Les grands ne les surveillaient presque plus, alors autant en profiter ! Mais parmi les cris joyeux, une voix fluette mais mécontente se faisait entendre :
- Erana, rends le moi !
Deux petites filles se courraient après. La première, qui tenait fermement un sac, portait une tunique rouge et des cheveux bruns tressés. Elle semblait âgée d'environ huit ans. La deuxième, plus jeune, avait les cheveux détachés retenus par un bandeau jaune et bleu et portait une petite robe verte.
- Erana ! criait celle-ci. Je t'ai demandé de me le rendre !
Mais la dénomée Erana n'en avait que faire. Elle continuait de courir, la petite fille en vert essoufflée derrière elle.
- Si tu le veux, alors viens le chercher Zia ! s'exclama la plus âgée en grimpant en haut d'un arbre.
La petite Zia s'arrêta au pied du tronc. L'arbre était bien trop haut pour elle ! N'arriverait-elle donc jamais à le récupérer ?
- Que se passe-t-il ici ? gronda une voix dans son dos.
Zia se retourna vivement. C'était un homme qui avait parlé. Grand, les cheveux foncés en bataille, il fixait les deux fillettes d'un regard interrogateur. Zia le connaissait ; il faisait escale dans leur village depuis quelques jours déjà. Cet homme se faisait appeler le Prophète voyageur.
- Et bien, que fais-tu là haut Erana ? demanda-t-il calmement.
- Je... euh... je...
- Elle m'a pris Patou ! la coupa Zia, lançant un regard suppliant vers le nouveau venu.
- Quoi ? Erana, c'est cet oiseau qui est dans ton sac ?
Le visage de la petite fille devint aussi rouge que sa tunique. Elle acquiesça timidement. Le voyageur soupira.
- Erana, descends, rends Patou à Zia et excuse-toi.
Erana ouvrit la bouche pour protester, puis songea à la punition que lui donneraient ses parents s'ils apprenaient ce qui s’était passé. En bougonnant, elle descendit de l'arbre.
- Tiens, dit-elle en tendant le sac à Zia.
- Et l'excuse alors ? la rabroua le voyageur.
- Désolé, lâcha Erana d'une voix à peine audible.
Puis elle s'éloigna en direction de la place du village.
- Merci Athanaos, dit Zia.
- Mais je t'en prie, répondit le Prophète voyageur. Nous nous revoyons tout à l'heure au village, Zia.
Puis il partit.
Zia était seule à présent. S'asseyant dans l'herbe, elle s'empressa d'ouvrir le sac. Un petit oisillon sortit timidement la tête.
- Oh, Patou ! s'exclama l'enfant en caressant l'oiseau. Tu n'as pas été trop secoué ?
Pour toute réponse, Patou se blottit dans sa main.
- Patou, tu me chatouille ! rit la petite fille.
Elle prit l'oisillon dans sa paume et le monta à la hauteur de son visage.
- Patou, je veux te faire une promesse : je serai toujours là pour toi. Nous deux, c'est pour la vie.
Patou poussa un petit cri, et voleta jusqu'à son épaule. Zia sourit. Quelle belle vie elle menait ! Pour son anniversaire ce soir là, elle montera en haut du temple pour prier Inti et Viracocha, puis elle regardera le ciel étoilé et fera un vœu. Elle était si heureuse !
- Zia, murmura une douce voix masculine.
- Papa !
Zia se précipita dans ses bras. Papacamayo lui prit la main.
- Viens, tout le monde t'attend.
Ils arrivèrent sur la place du village, où de magnifiques guirlandes de fleurs avaient été dressées pour l'occasion. On pouvait sentir l'odeur des légumes, des fruits et de la viande disposés sur une table non loin. C'était la fête du soleil, l’Inti Raymi, fête du bonheur et des récoltes ! Et c'était aussi l'anniversaire de Zia, la petite inca radieuse comme le soleil.
Ils dansèrent tout le soir, chantant des chants traditionnels. Et quand la lune fut haute dans le ciel, ils montèrent en haut du temple et prièrent les dieux. Puis, sous le ciel étoilé et devant Athanaos, son père, les villageois et Erana qui était tout sourire, Zia fit un vœu.
« Que les gens vivent en paix, avec amour et solidarité. Que chacun trouve le droit chemin, que personne n'ait peur de son destin. »
Voilà un vœu qui lui était cher, la paix sur terre et dans tous les cœurs. Et elle était sûre qu'un jour, à son tour, elle aiderait le monde.
Fin
Il lui reste encore un long chemin à parcourir, et, à ce moment là, elle ignore encore que bientôt, elle sauvera le monde.